Ecclésiaste 1:1-17
Ecclésiaste 1:1-17 Bible J.N. Darby (JND)
Les paroles du Prédicateur, fils de David, roi à Jérusalem. Vanité des vanités, dit le prédicateur ; vanité des vanités ! Tout est vanité. Quel profit a l’homme de tout son labeur dont il se tourmente sous le soleil ? Une génération s’en va, et une génération vient ; et la terre subsiste toujours. Et le soleil se lève, et le soleil se couche, et il se hâte vers son lieu où il se lève. Le vent va vers le midi, et il tourne vers le nord ; il tourne et retourne ; et le vent revient sur ses circuits. Toutes les rivières vont vers la mer, et la mer n’est pas remplie ; au lieu où les rivières allaient, là elles vont de nouveau. Toutes choses travaillent, l’homme ne peut le dire ; l’œil ne se rassasie pas de voir, et l’oreille ne se satisfait pas d’entendre. Ce qui a été, c’est ce qui sera ; et ce qui a été fait, c’est ce qui se fera ; et il n’y a rien de nouveau sous le soleil. Y a-t-il une chose dont on puisse dire : Regarde ceci, c’est nouveau ? – Elle a été déjà, dans les siècles qui furent avant nous. Il n’y a pas de souvenir des choses qui ont précédé ; et de même, de celles qui seront après, il n’y en aura pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard. Moi, le prédicateur, j’ai été roi sur Israël à Jérusalem, et j’ai appliqué mon cœur à rechercher et à explorer par la sagesse tout ce qui se fait sous les cieux : c’est une occupation ingrate que DIEU a donnée aux fils des hommes afin qu’ils s’y fatiguent. J’ai vu tous les travaux qui se font sous le soleil ; et voici, tout est vanité et poursuite du vent. Ce qui est tordu ne peut être redressé, et ce qui manque ne peut être compté. J’ai parlé en mon cœur, disant : Voici, je suis devenu grand et j’ai acquis de la sagesse plus que tous ceux qui ont été avant moi sur Jérusalem, et mon cœur a vu beaucoup de sagesse et de connaissance ; et j’ai appliqué mon cœur à la connaissance de la sagesse et à la connaissance des choses déraisonnables et de la folie. J’ai connu que cela aussi, c’est la poursuite du vent.
Ecclésiaste 1:1-17 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Voici les paroles du Sage, fils de David et roi à Jérusalem . Le Sage dit : Tout part en fumée, rien ne sert à rien, rien ne mène à rien. Les êtres humains travaillent durement sur terre. Mais qu’est-ce que cela leur rapporte ? Une génération passe, une génération naît, et le monde est toujours là. Le soleil se lève, le soleil se couche, puis il court vers l’endroit où il se lève. Le vent souffle vers le sud, puis il tourne vers le nord. Il tourne, tourne et s’en retourne, puis il recommence à tourner. Tous les fleuves se jettent dans la mer, pourtant, la mer n’est jamais remplie. Les fleuves coulent vers un endroit et, là, ils reviennent aussitôt. Tout cela est ennuyeux, on ne pourra jamais le dire assez. Les yeux voient et ils veulent voir toujours plus, les oreilles entendent et elles veulent entendre toujours plus. Ce qui a existé existera encore. Ce qui a été fait se fera encore. Il n’y a rien de nouveau sous le soleil. On peut dire de quelque chose : « Voyez, c’est nouveau ! » Pourtant, cela existait longtemps, longtemps avant nous. Nous, nous oublions ce qui s’est passé autrefois. Et ceux qui viendront ensuite oublieront à leur tour ce qui va se passer après nous. Moi, le Sage, j’ai été roi d’Israël à Jérusalem. J’ai pris soin d’étudier attentivement tout ce qui se passe dans le monde, pour en comprendre le sens. C’est un travail pénible que Dieu donne aux humains. J’ai regardé tout ce qu’on fait sous le soleil. Et voilà : tout cela ne sert à rien, autant courir après le vent ! Ce qui est courbé, on ne peut le redresser. Ce qui n’existe pas, on ne peut le compter. Je me suis dit : « J’ai fait grandir et j’ai développé la sagesse plus que tous ceux qui ont été rois avant moi à Jérusalem. J’ai une grande expérience et je connais bien la vie. » J’ai étudié attentivement ce qui est sage et ce qui ne l’est pas, ce qui est intelligent et ce qui est stupide. J’ai compris une chose : cela aussi, c’est courir après le vent !
Ecclésiaste 1:1-17 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Paroles de l'Ecclésiaste, fils de David, roi de Jérusalem. Vanité des vanités, dit l'Ecclésiaste, vanité des vanités, tout est vanité. Quel avantage revient-il à l'homme de toute la peine qu'il se donne sous le soleil? Une génération s'en va, une autre vient, et la terre subsiste toujours. Le soleil se lève, le soleil se couche; il soupire après le lieu d'où il se lève de nouveau. Le vent se dirige vers le midi, tourne vers le nord; puis il tourne encore, et reprend les mêmes circuits. Tous les fleuves vont à la mer, et la mer n'est point remplie; ils continuent à aller vers le lieu où ils se dirigent. Toutes choses sont en travail au-delà de ce qu'on peut dire; l'œil ne se rassasie pas de voir, et l'oreille ne se lasse pas d'entendre. Ce qui a été, c'est ce qui sera, et ce qui s'est fait, c'est ce qui se fera, il n'y a rien de nouveau sous le soleil. S'il est une chose dont on dise: Vois ceci, c'est nouveau! cette chose existait déjà dans les siècles qui nous ont précédés. On ne se souvient pas de ce qui est ancien; et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard. Moi, l'Ecclésiaste, j'ai été roi d'Israël à Jérusalem. J'ai appliqué mon cœur à rechercher et à sonder par la sagesse tout ce qui se fait sous les cieux: c'est là une occupation pénible, à laquelle Dieu soumet les fils de l'homme. J'ai vu tout ce qui se fait sous le soleil; et voici, tout est vanité et poursuite du vent. Ce qui est courbé ne peut se redresser, et ce qui manque ne peut être compté. J'ai dit en mon cœur: Voici, j'ai grandi et surpassé en sagesse tous ceux qui ont dominé avant moi sur Jérusalem, et mon cœur a vu beaucoup de sagesse et de science. J'ai appliqué mon cœur à connaître la sagesse, et à connaître la sottise et la folie; j'ai compris que cela aussi c'est la poursuite du vent.
Ecclésiaste 1:1-17 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Voici ce que dit le Maître, fils de David, roi à Jérusalem. Dérisoire, absolument dérisoire, dit le Maître, oui dérisoire, absolument dérisoire, tout est dérisoire ! Quel avantage l’homme retire-t-il de tout le labeur pour lequel il trime sous le soleil ? Une génération s’en va, une autre vient, et la terre est toujours là. Le soleil se lève, le soleil se couche, et il aspire à se retrouver à l’endroit d’où il devra de nouveau se lever. Il va vers le sud, puis il tourne vers le nord, il tourne et tourne encore : ainsi va le vent. Et il reprend les mêmes tours, le vent. Tous les fleuves vont se jeter dans la mer, mais la mer n’est pas remplie. Les fleuves ne cessent de couler toujours vers le même endroit en suivant leur cours. Tout est en travail, plus qu’on ne peut le dire. L’œil n’est jamais rassasié de voir. L’oreille n’est jamais remplie de ce qu’elle entend. Ce qui a été, c’est ce qui sera, et ce qui s’est fait, c’est ce qui se fera : il n’y a rien de nouveau sous le soleil. Si l’on dit : « Tenez ! Voilà quelque chose de nouveau », en fait, cela a déjà existé dans les temps qui nous ont précédés depuis longtemps. Seulement, on ne se souvient plus de ce qui s’est passé autrefois, et il en sera de même pour ce qui se produira dans l’avenir : ceux qui viendront après n’en auront aucun souvenir. Moi, le Maître, j’ai été roi d’Israël à Jérusalem. Et je me suis appliqué à étudier et à examiner par la sagesse tout ce qui se fait sous le soleil. Dieu impose aux hommes de s’appliquer à cette occupation de malheur. J’ai vu tout ce qui se fait sous le soleil et je suis arrivé à la conclusion que tout est dérisoire : autant courir après le vent. Ce qui est tordu ne peut être redressé, et ce qui manque ne peut être compté. Je me suis dit en moi-même : « Voici, j’ai fait augmenter et progresser la sagesse plus qu’aucun de ceux qui ont régné avant moi à Jérusalem. J’ai considéré beaucoup de sagesse et de connaissance. » Je me suis appliqué à connaître la sagesse et le savoir, ainsi que la folie et la déraison. Et je me suis aperçu que cela aussi, c’est comme courir après le vent.
Ecclésiaste 1:1-17 La Bible Segond 21 (S21)
Comble de l'inconsistance, dit l'Ecclésiaste, comble de l'inconsistance, tout n'est que fumée! Quel avantage l'homme retire-t-il de toute la peine qu'il se donne sous le soleil? Une génération s'en va, une autre arrive et la terre est toujours là. Le soleil se lève, le soleil se couche, il soupire après l'endroit d'où il se lève de nouveau. Le vent se dirige vers le sud, tourne vers le nord, puis il tourne encore et reprend les mêmes circuits. Tous les fleuves vont à la mer, mais la mer n'est pas remplie et ils continuent d'aller vers leur destination. Tout est en mouvement, plus qu'on ne peut le dire. L'œil ne sera jamais rassasié de voir et l'oreille ne sera jamais remplie au point de ne plus pouvoir écouter. Ce qui a existé, c'est ce qui existera, et ce qui s'est fait, c'est ce qui se fera. Il n'y a rien de nouveau sous le soleil. Si l'on dit à propos de quelque chose: «Regarde ceci, c'est nouveau», en réalité cela existait déjà dans les siècles précédents. On ne se souvient pas de ce qui est ancien, et ce qui arrivera par la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard. Moi, l'Ecclésiaste, j'ai été roi d'Israël à Jérusalem. J'ai appliqué mon cœur à rechercher et à explorer par la sagesse tout ce qui se fait sous le ciel: c'est une occupation pénible que Dieu réserve aux humains. J'ai vu tout ce qui se fait sous le soleil et j'ai constaté que tout n'est que fumée et revient à poursuivre le vent. Ce qui est courbé ne peut pas se redresser et ce qui manque ne peut pas être compté. Je me suis dit: «J'ai augmenté et développé la sagesse plus que tous ceux qui ont dominé avant moi sur Jérusalem, et mon cœur a vu beaucoup de sagesse et de connaissance.» J'ai appliqué mon cœur à connaître la sagesse, mais aussi la folie et la stupidité. J'ai découvert que cela aussi, cela revient à poursuivre le vent.
Ecclésiaste 1:1-17 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Paroles de l’Ecclésiaste, fils de David, roi de Jérusalem. Vanité des vanités, dit l’Ecclésiaste, vanité des vanités, tout est vanité. Quel avantage revient-il à l’homme de toute la peine qu’il se donne sous le soleil? Une génération s’en va, une autre vient, et la terre subsiste toujours. Le soleil se lève, le soleil se couche; il soupire après le lieu d’où il se lève de nouveau. Le vent se dirige vers le midi, tourne vers le nord; puis il tourne encore, et reprend les mêmes circuits. Tous les fleuves vont à la mer, et la mer n’est point remplie; ils continuent à aller vers le lieu où ils se dirigent. Toutes choses sont en travail au-delà de ce qu’on peut dire; l’œil ne se rassasie pas de voir, et l’oreille ne se lasse pas d’entendre. Ce qui a été, c’est ce qui sera, et ce qui s’est fait, c’est ce qui se fera, il n’y a rien de nouveau sous le soleil. S’il est une chose dont on dise: Vois ceci, c’est nouveau! Cette chose existait déjà dans les siècles qui nous ont précédés. On ne se souvient pas de ce qui est ancien; et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard. Moi, l’Ecclésiaste, j’ai été roi d’Israël à Jérusalem. J’ai appliqué mon cœur à rechercher et à sonder par la sagesse tout ce qui se fait sous les cieux: c’est là une occupation pénible, à laquelle Dieu soumet les fils de l’homme. J’ai vu tout ce qui se fait sous le soleil; et voici, tout est vanité et poursuite du vent. Ce qui est courbé ne peut se redresser, et ce qui manque ne peut être compté. J’ai dit en mon cœur: Voici, j’ai grandi et surpassé en sagesse tous ceux qui ont dominé avant moi sur Jérusalem, et mon cœur a vu beaucoup de sagesse et de science. J’ai appliqué mon cœur à connaître la sagesse, et à connaître la sottise et la folie; j’ai compris que cela aussi c’est la poursuite du vent.
Ecclésiaste 1:1-17 Bible en français courant (BFC)
Voici les paroles du Sage, fils de David et roi à Jérusalem. De la fumée, dit le Sage, tout n'est que fumée, tout part en fumée. Les humains travaillent durement ici-bas mais quel profit en tirent-ils? Une génération passe, une nouvelle génération lui succède, mais le monde demeure indéfiniment. Le soleil se lève, le soleil se couche, puis il se hâte de retourner à son point de départ. Le vent souffle tantôt vers le sud, tantôt vers le nord. Le vent souffle, le vent tourne, puis il reprend sa première direction. Tous les fleuves se jettent dans la mer, mais la mer n'est jamais remplie. Sans arrêt pourtant, les fleuves se déversent à ce même endroit. On ne pourra jamais assez dire combien tout cela est lassant: l'œil n'a jamais fini de voir ni l'oreille d'entendre. Ce qui est arrivé arrivera encore. Ce qui a été fait se fera encore. Rien de nouveau ne se produit ici-bas. S'il y a quelque chose dont nous disons: «Voilà du neuf!», en réalité cela avait déjà existé bien longtemps avant nous. Mais nous oublions ce qui est arrivé à nos ancêtres. Les hommes qui viendront après nous ne laisseront pas non plus de souvenir à ceux qui leur succéderont. Moi, le Sage, j'ai régné sur le peuple d'Israël à Jérusalem. Je me suis appliqué à comprendre et à connaître ce qui se passe dans le monde à l'aide de toute ma sagesse. C'est là une préoccupation pénible que Dieu impose aux humains! J'ai vu tout ce qui se fait ici-bas. Eh bien, ce n'est que fumée, course après le vent. Ce qui est tordu ne peut pas être redressé, ce qui n'existe pas ne peut pas être compté. Je me suis dit: «J'ai accumulé bien plus de sagesse que tous ceux qui ont régné à Jérusalem avant moi.» J'ai beaucoup enrichi mon expérience et ma compréhension de la vie. Je me suis appliqué à connaître ce qui est sage et ce qui est insensé, ce qui est intelligent et ce qui est stupide. J'ai compris que cela aussi c'est courir après le vent.