Actes 8:9-40
Actes 8:9-40 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Un homme appelé Simon habite dans cette ville depuis un certain temps. Il pratique la magie et il étonne beaucoup les gens de Samarie. Il dit qu’il est quelqu’un d’important, et tous, les plus jeunes comme les plus vieux, l’écoutent avec attention. On dit : « Cet homme, c’est la puissance de Dieu, celle qu’on appelle la “Grande Puissance” ! » Depuis longtemps, Simon étonne beaucoup les gens avec sa magie, c’est pourquoi ils l’écoutent avec attention. Mais maintenant, Philippe leur annonce la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ et du Royaume de Dieu. Tous ceux qui le croient, des hommes et des femmes, se font baptiser. Même Simon devient croyant, il se fait baptiser et il ne quitte plus Philippe. En voyant les miracles et les choses extraordinaires qui arrivent, c’est lui qui est très étonné ! À Jérusalem, les apôtres apprennent que les gens de Samarie ont reçu la parole de Dieu, ils leur envoient donc Pierre et Jean. Quand les deux apôtres arrivent en Samarie, ils prient pour que les croyants reçoivent l’Esprit Saint. En effet, l’Esprit Saint n’est encore descendu sur personne parmi eux. Ils ont seulement été baptisés au nom du Seigneur Jésus. Alors Pierre et Jean posent les mains sur leur tête, et ils reçoivent l’Esprit Saint. Simon voit que les croyants reçoivent l’Esprit Saint quand les apôtres posent les mains sur leur tête. C’est pourquoi il offre de l’argent à Pierre et à Jean en leur disant : « Donnez-moi ce pouvoir, à moi aussi. De cette façon, quand je poserai les mains sur la tête de quelqu’un, cette personne recevra l’Esprit Saint. » Mais Pierre lui répond : « Que ton argent soit détruit, et toi aussi ! Tu as cru que tu pouvais acheter avec de l’argent ce que Dieu donne gratuitement. Ce qui se passe ici n’est pas pour toi, tu n’as pas le droit d’y participer ! En effet, pour Dieu, ton intention est mauvaise. Ce que tu as fait est mal, reconnais cela et prie le Seigneur. Il va peut-être pardonner ces mauvaises pensées. Oui, je le vois, tu es rempli d’envie et prisonnier du péché ! » Simon répond à Pierre et à Jean : « Priez vous-mêmes le Seigneur pour moi, alors rien de ce que vous avez dit ne pourra m’arriver. » Les deux apôtres rendent témoignage en annonçant la parole du Seigneur, puis ils retournent à Jérusalem. En chemin, ils font connaître la Bonne Nouvelle dans beaucoup de villages de Samarie. L’ange du Seigneur dit à Philippe : « Pars vers le sud, sur la route qui va de Jérusalem à Gaza. En ce moment, il n’y a personne sur la route. » Philippe part tout de suite. En chemin, il voit un homme. C’est un eunuque éthiopien, un fonctionnaire important. C’est lui qui s’occupe de toutes les richesses de Candace, la reine d’Éthiopie. Il est venu à Jérusalem pour adorer Dieu et il retourne chez lui. Il est assis dans une voiture à cheval et lit le livre du prophète Ésaïe. L’Esprit Saint dit à Philippe : « Avance, va jusqu’à cette voiture ! » Philippe y va en courant. Il entend l’Éthiopien qui lit le livre du prophète Ésaïe. Philippe lui demande : « Est-ce que tu comprends ce que tu lis ? » L’homme répond : « Comment est-ce que je peux comprendre ? Personne ne m’explique ! » Et il invite Philippe à monter dans la voiture et à s’asseoir à côté de lui. Il est en train de lire ce passage d’Ésaïe : « Il est comme un mouton qu’on mène à la boucherie, comme un agneau qui ne crie pas quand on lui coupe sa laine. Il garde le silence. On le compte pour rien et on ne lui fait pas justice. Qui pourra parler de ses enfants ? Personne ! En effet, on a supprimé sa vie de la terre. » L’Éthiopien demande à Philippe : « S’il te plaît, dis-moi : le prophète parle de qui ? De lui-même ou de quelqu’un d’autre ? » Alors Philippe prend la parole. À partir de ce passage des Livres Saints, il lui annonce la Bonne Nouvelle de Jésus. Ils continuent leur chemin et arrivent à un endroit où il y a de l’eau. L’Éthiopien dit à Philippe : « Voici de l’eau. Qu’est-ce qui empêche que je sois baptisé ? » [] Il fait arrêter la voiture. Philippe et l’Éthiopien descendent tous les deux dans l’eau, et Philippe le baptise. Quand ils sortent de l’eau, l’Esprit du Seigneur enlève Philippe. L’Éthiopien ne le voit plus, mais il continue son chemin, tout joyeux. Philippe se retrouve à Azoth, puis il part pour Césarée. En chemin, il annonce la Bonne Nouvelle dans toutes les villes où il passe.
Actes 8:9-40 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Il y avait auparavant dans la ville un homme nommé Simon, qui, se donnant pour un personnage important, exerçait la magie et provoquait l’étonnement du peuple de la Samarie. Tous, depuis le plus petit jusqu’au plus grand, l’écoutaient attentivement, et disaient: Celui-ci est la puissance de Dieu, celle qui s’appelle la grande. Ils l’écoutaient attentivement, parce qu’il les avait longtemps étonnés par ses actes de magie. Mais, quand ils eurent cru à Philippe, qui leur annonçait la bonne nouvelle du royaume de Dieu et du nom de Jésus-Christ, hommes et femmes se firent baptiser. Simon lui-même crut, et, après avoir été baptisé, il ne quittait plus Philippe, et il voyait avec étonnement les miracles et les grands prodiges qui s’opéraient. Les apôtres, qui étaient à Jérusalem, ayant appris que la Samarie avait reçu la parole de Dieu, y envoyèrent Pierre et Jean. Ceux-ci, arrivés chez les Samaritains, prièrent pour eux, afin qu’ils reçussent le Saint-Esprit. Car il n’était encore descendu sur aucun d’eux; ils avaient seulement été baptisés au nom du Seigneur Jésus. Alors Pierre et Jean leur imposèrent les mains, et ils reçurent le Saint-Esprit. Lorsque Simon vit que le Saint-Esprit était donné par l’imposition des mains des apôtres, il leur offrit de l’argent, en disant: Accordez-moi aussi ce pouvoir, afin que celui à qui j’imposerai les mains reçoive le Saint-Esprit. Mais Pierre lui dit: Que ton argent périsse avec toi, puisque tu as cru que le don de Dieu s’acquérait à prix d’argent! Il n’y a pour toi ni part ni lot dans cette affaire, car ton cœur n’est pas droit devant Dieu. Repens-toi donc de ta méchanceté, et prie le Seigneur pour que la pensée de ton cœur te soit pardonnée, s’il est possible; car je vois que tu es dans un fiel amer et dans les liens de l’iniquité. Simon répondit: Priez vous-mêmes le Seigneur pour moi, afin qu’il ne m’arrive rien de ce que vous avez dit. Après avoir rendu témoignage à la parole du Seigneur, et après l’avoir prêchée, Pierre et Jean retournèrent à Jérusalem, en annonçant la bonne nouvelle dans plusieurs villages des Samaritains. Un ange du Seigneur, s’adressant à Philippe, lui dit: Lève-toi, et va du côté du midi, sur le chemin qui descend de Jérusalem à Gaza, celui qui est désert. Il se leva, et partit. Et voici, un Éthiopien, un eunuque, ministre de Candace, reine d’Éthiopie, et surintendant de tous ses trésors, venu à Jérusalem pour adorer, s’en retournait, assis sur son char, et lisait le prophète Ésaïe. L’Esprit dit à Philippe: Avance, et approche-toi de ce char. Philippe accourut, et entendit l’Éthiopien qui lisait le prophète Ésaïe. Il lui dit: Comprends-tu ce que tu lis? Il répondit: Comment le pourrais-je, si quelqu’un ne me guide? Et il invita Philippe à monter et à s’asseoir avec lui. Le passage de l’Écriture qu’il lisait était celui-ci: Il a été mené comme une brebis à la boucherie; Et, comme un agneau muet devant celui qui le tond, Il n’a point ouvert la bouche. Dans son humiliation, son jugement a été levé. Et sa postérité, qui la dépeindra? Car sa vie a été retranchée de la terre. L’eunuque dit à Philippe: Je te prie, de qui le prophète parle-t-il ainsi? Est-ce de lui-même, ou de quelque autre? Alors Philippe, ouvrant la bouche et commençant par ce passage, lui annonça la bonne nouvelle de Jésus. Comme ils continuaient leur chemin, ils rencontrèrent de l’eau. Et l’eunuque dit: Voici de l’eau; qu’est-ce qui empêche que je sois baptisé? Philippe dit: Si tu crois de tout ton cœur, cela est possible. L’eunuque répondit: Je crois que Jésus-Christ est le Fils de Dieu. Il fit arrêter le char; Philippe et l’eunuque descendirent tous deux dans l’eau, et Philippe baptisa l’eunuque. Quand ils furent sortis de l’eau, l’Esprit du Seigneur enleva Philippe, et l’eunuque ne le vit plus. Tandis que, joyeux, il poursuivait sa route, Philippe se trouva dans Azot, d’où il alla jusqu’à Césarée, en évangélisant toutes les villes par lesquelles il passait.
Actes 8:9-40 Bible J.N. Darby (JND)
Or, avant cela, il y avait dans la ville un homme nommé Simon, qui exerçait la magie et étonnait le peuple de la Samarie, se disant être quelque grand personnage ; auquel tous s’attachaient, depuis le petit jusqu’au grand, disant : Celui-ci est la puissance de DIEU appelée la grande. Et ils s’attachaient à lui, parce que depuis longtemps il les étonnait par sa magie. Mais quand ils eurent cru Philippe qui leur annonçait les bonnes nouvelles touchant le royaume de DIEU et le nom de Jésus Christ, tant les hommes que les femmes furent baptisés. Et Simon crut aussi lui-même ; et après avoir été baptisé, il se tenait toujours auprès de Philippe ; et voyant les prodiges et les grands miracles qui se faisaient, il était dans l’étonnement. Or les apôtres qui étaient à Jérusalem, ayant appris que la Samarie avait reçu la parole de DIEU, leur envoyèrent Pierre et Jean, qui, étant descendus, prièrent pour eux, pour qu’ils reçoivent l’Esprit Saint : car il n’était encore tombé sur aucun d’eux, mais seulement ils avaient été baptisés pour le nom du seigneur Jésus. Puis ils leur imposèrent les mains, et ils reçurent l’Esprit Saint. Or Simon, voyant que l’Esprit Saint était donné par l’imposition des mains des apôtres, leur offrit de l’argent, disant : Donnez-moi aussi ce pouvoir, afin que tous ceux à qui j’imposerai les mains reçoivent l’Esprit Saint. Mais Pierre lui dit : Que ton argent périsse avec toi, parce que tu as pensé acquérir avec de l’argent le don de DIEU. Tu n’as ni part ni portion dans cette affaire ; car ton cœur n’est pas droit devant DIEU. Repens-toi donc de cette méchanceté, et supplie le Seigneur, afin que, si faire se peut, la pensée de ton cœur te soit pardonnée ; car je vois que tu es dans un fiel d’amertume et dans un lien d’iniquité. Et Simon, répondant, dit : Vous, suppliez le Seigneur pour moi, en sorte que rien ne vienne sur moi de ce dont vous avez parlé. Eux donc, après avoir rendu témoignage et avoir annoncé la parole du Seigneur, s’en retournaient à Jérusalem ; et ils évangélisaient plusieurs villages des Samaritains. Et un ange du ✶Seigneur parla à Philippe, disant : Lève-toi, et va vers le midi, sur le chemin qui descend de Jérusalem à Gaza, lequel est désert. Et lui, se levant, s’en alla. Et voici, un Éthiopien, eunuque, homme puissant à la cour de Candace, reine des Éthiopiens, intendant de tous ses trésors, et qui était venu pour adorer à Jérusalem, s’en retournait ; et il était assis dans son char et lisait le prophète Ésaïe. Et l’Esprit dit à Philippe : Approche-toi et joins-toi à ce char. Et Philippe étant accouru, l’entendit qui lisait le prophète Ésaïe ; et il dit : Mais comprends-tu ce que tu lis ? Et il dit : Comment donc le pourrais-je, si quelqu’un ne me conduit ? Et il pria Philippe de monter et de s’asseoir avec lui. Or le passage de l’écriture qu’il lisait était celui-ci : « Il a été mené comme une brebis à la boucherie ; et comme un agneau, muet devant celui qui le tond, ainsi il n’ouvre point sa bouche ; dans son humiliation, son jugement a été ôté ; et qui racontera sa génération ? car sa vie est ôtée de la terre ». Et l’eunuque, répondant, dit à Philippe : Je te prie, de qui le prophète dit-il cela ? De lui-même, ou de quelque autre ? Et Philippe, ouvrant sa bouche et commençant par cette écriture, lui annonça Jésus. Et comme ils continuaient leur chemin, ils arrivèrent à une eau, et l’eunuque dit : Voici de l’eau, qu’est-ce qui m’empêche d’être baptisé ? Et il donna l’ordre qu’on arrête le char, et ils descendirent tous deux à l’eau, et Philippe et l’eunuque ; et [Philippe] le baptisa. Et, quand ils furent remontés hors de l’eau, l’Esprit du Seigneur enleva Philippe, et l’eunuque ne le vit plus, car il continua son chemin tout joyeux ; mais Philippe fut trouvé à Azot ; et en passant au travers [du pays], il évangélisa toutes les villes, jusqu’à ce qu’il fut arrivé à Césarée.
Actes 8:9-40 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Il y avait auparavant dans la ville un homme nommé Simon, qui, se donnant pour un personnage important, exerçait la magie et provoquait l'étonnement du peuple de la Samarie. Tous, depuis le plus petit jusqu'au plus grand, l'écoutaient attentivement, et disaient: Celui-ci est la puissance de Dieu, celle qui s'appelle la grande. Ils l'écoutaient attentivement, parce qu'il les avait longtemps étonnés par ses actes de magie. Mais, quand ils eurent cru à Philippe, qui leur annonçait la bonne nouvelle du royaume de Dieu et du nom de Jésus-Christ, hommes et femmes se firent baptiser. Simon lui-même crut, et, après avoir été baptisé, il ne quittait plus Philippe, et il voyait avec étonnement les miracles et les grands prodiges qui s'opéraient. Les apôtres, qui étaient à Jérusalem, ayant appris que la Samarie avait reçu la parole de Dieu, y envoyèrent Pierre et Jean. Ceux-ci, arrivés chez les Samaritains, prièrent pour eux, afin qu'ils reçoivent le Saint-Esprit. Car il n'était encore descendu sur aucun d'eux; ils avaient seulement été baptisés au nom du Seigneur Jésus. Alors Pierre et Jean leur imposèrent les mains, et ils reçurent le Saint-Esprit. Lorsque Simon vit que le Saint-Esprit était donné par l'imposition des mains des apôtres, il leur offrit de l'argent, en disant: Accordez-moi aussi ce pouvoir, afin que celui à qui j'imposerai les mains reçoive le Saint-Esprit. Mais Pierre lui dit: Que ton argent périsse avec toi, puisque tu as cru que le don de Dieu s'acquérait à prix d'argent! Il n'y a pour toi ni part ni lot dans cette affaire, car ton cœur n'est pas droit devant Dieu. Repens-toi donc de ta méchanceté, et prie le Seigneur pour que la pensée de ton cœur te soit pardonnée, s'il est possible; car je vois que tu es dans un fiel amer et dans les liens de l'iniquité. Simon répondit: Priez vous-mêmes le Seigneur pour moi, afin qu'il ne m'arrive rien de ce que vous avez dit. Après avoir rendu témoignage à la parole du Seigneur, et après l'avoir prêchée, Pierre et Jean retournèrent à Jérusalem, en annonçant la bonne nouvelle dans plusieurs villages des Samaritains. Un ange du Seigneur, s'adressant à Philippe, lui dit: Lève-toi, et va du côté du midi, sur le chemin qui descend de Jérusalem à Gaza, celui qui est désert. Il se leva, et partit. Et voici, un Ethiopien, un eunuque, ministre de Candace, reine d'Ethiopie, et surintendant de tous ses trésors, venu à Jérusalem pour adorer, s'en retournait, assis sur son char, et lisait le prophète Esaïe. L'Esprit dit à Philippe: Avance, et approche-toi de ce char. Philippe accourut, et entendit l'Ethiopien qui lisait le prophète Esaïe. Il lui dit: Comprends-tu ce que tu lis? Il répondit: Comment le pourrais-je, si quelqu'un ne me guide? Et il invita Philippe à monter et à s'asseoir avec lui. Le passage de l'Ecriture qu'il lisait était celui-ci:Il a été mené comme une brebis à la boucherie;Et, comme un agneau muet devant celui qui le tond,Il n'a point ouvert la bouche. Dans son humiliation, son jugement a été levé.Et sa postérité, qui la dépeindra?Car sa vie a été retranchée de la terre. L'eunuque dit à Philippe: Je te prie, de qui le prophète parle-t-il ainsi? Est-ce de lui-même, ou de quelqu'un d'autre? Alors Philippe, ouvrant la bouche et commençant par ce passage, lui annonça la bonne nouvelle de Jésus. Comme ils continuaient leur chemin, ils rencontrèrent de l'eau. Et l'eunuque dit: Voici de l'eau; qu'est-ce qui empêche que je ne sois baptisé? [Philippe dit: Si tu crois de tout ton cœur, cela est possible. L'eunuque répondit: Je crois que Jésus-Christ est le Fils de Dieu.] Il fit arrêter le char; Philippe et l'eunuque descendirent tous deux dans l'eau, et Philippe baptisa l'eunuque. Quand ils furent sortis de l'eau, l'Esprit du Seigneur enleva Philippe, et l'eunuque ne le vit plus. Tandis que, joyeux, il poursuivait sa route, Philippe se trouva dans Azot, d'où il alla jusqu'à Césarée, en évangélisant toutes les villes par lesquelles il passait.
Actes 8:9-40 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Or, depuis quelque temps, un homme nommé Simon s’était établi dans la ville et y exerçait la magie. Il émerveillait le peuple de Samarie et prétendait être un grand personnage. Toute la population, du plus petit jusqu’au plus grand, lui accordait donc une grande attention. – Cet homme, disaient-ils, est la puissance même de Dieu, celle qu’on appelle la « Grande Puissance ». S’ils s’attachaient ainsi à lui, c’était parce que, depuis assez longtemps, il les étonnait par ses actes de magie. Mais quand ils crurent Philippe qui leur annonçait ce qui concerne le royaume de Dieu et Jésus-Christ, ils se firent baptiser, tant les hommes que les femmes. Simon lui-même crut et fut baptisé. Dès lors, il ne quittait plus Philippe, émerveillé par les signes miraculeux et les prodiges extraordinaires qui s’accomplissaient sous ses yeux. Quand les apôtres, restés à Jérusalem, apprirent que les Samaritains avaient accepté la Parole de Dieu, ils déléguèrent auprès d’eux Pierre et Jean. Dès leur arrivée, ceux-ci prièrent pour les nouveaux disciples afin qu’ils reçoivent le Saint-Esprit. En effet, il n’était encore descendu sur aucun d’eux : ils avaient seulement été baptisés au nom du Seigneur Jésus. Pierre et Jean leur imposèrent donc les mains et ils reçurent l’Esprit Saint. Simon vit que l’Esprit Saint était donné aux croyants quand les apôtres leur imposaient les mains. Alors il leur proposa de l’argent et leur dit : Donnez-moi aussi ce pouvoir pour que ceux à qui j’imposerai les mains reçoivent l’Esprit Saint. Mais Pierre lui répondit : Que ton argent périsse, et toi avec lui, puisque tu t’es imaginé qu’on pouvait se procurer le don de Dieu avec de l’argent ! Tu n’as ni part ni droit dans cette affaire, car ton cœur n’est pas droit devant Dieu. Détourne-toi donc du mal qui est en toi, et demande au Seigneur de te pardonner, s’il est possible, d’avoir eu de telles intentions dans ton cœur. Car, à ce que je vois, tu es rempli d’amertume et de méchanceté et tu es captif du mal. Alors Simon demanda à Pierre et Jean : Priez vous-mêmes le Seigneur pour moi : qu’il ne m’arrive rien de ce que vous avez dit. Pierre et Jean continuèrent à rendre témoignage à Jésus-Christ en annonçant la Parole du Seigneur, puis ils retournèrent à Jérusalem, tout en annonçant l’Evangile dans un grand nombre de villages samaritains. Un ange du Seigneur s’adressa à Philippe et lui dit : Lève-toi, pars en direction du sud, prends la route qui descend de Jérusalem à Gaza, celle qui est déserte. Il se leva immédiatement et se mit en route. Et voici qu’il rencontra un haut dignitaire éthiopien, administrateur des biens de Candace, reine d’Ethiopie. Cet homme était venu à Jérusalem pour adorer Dieu. Il était sur le chemin du retour, et, assis dans son char, il lisait à haute voix un passage du prophète Esaïe. L’Esprit dit à Philippe : Avance jusqu’à ce char et marche à côté de lui. Philippe courut et entendit l’Ethiopien lire dans le livre du prophète Esaïe. Alors il lui demanda : Comprends-tu ce que tu lis ? – Comment le pourrais-je, répondit-il, si je n’ai personne pour me l’expliquer ? Et il invita Philippe à monter s’asseoir à côté de lui. Or, il était en train de lire ce passage de l’Ecriture : Semblable à un mouton ╵ mené à l’abattoir, comme un agneau muet ╵ devant ceux qui le tondent, il n’a pas dit un mot. Il a été humilié ╵ et n’a pas obtenu justice. Qui racontera sa descendance ? Car sa vie sur la terre ╵ a été supprimée . L’Ethiopien demanda à Philippe : Explique-moi, s’il te plaît : de qui est-il question ? Est-ce de lui-même que le prophète parle, ou de quelqu’un d’autre ? Alors Philippe prit la parole et, partant de ce texte, lui annonça ce qui concerne Jésus. En continuant leur route, ils arrivèrent près d’un point d’eau. Alors, le dignitaire s’écria : Voici de l’eau ; qu’est-ce qui empêche que je sois baptisé ? [– Si tu crois de tout ton cœur, tu peux être baptisé. – Oui, répondit le dignitaire, je crois que Jésus-Christ est le Fils de Dieu.] Aussitôt, il donna l’ordre d’arrêter le char ; Philippe et le dignitaire descendirent tous deux dans l’eau et Philippe le baptisa. Quand ils sortirent de l’eau, l’Esprit du Seigneur enleva Philippe, et le dignitaire ne le vit plus. Celui-ci poursuivit sa route, le cœur rempli de joie. Philippe se retrouva à Ashdod, d’où il se rendit à Césarée en annonçant l’Evangile dans toutes les localités qu’il traversait.
Actes 8:9-40 Bible Segond 21 (S21)
Un homme du nom de Simon se trouvait déjà dans la ville. Se présentant comme un personnage important, il exerçait la magie et provoquait l'étonnement du peuple samaritain. Tous, du plus petit jusqu'au plus grand, l'écoutaient attentivement et disaient: «Cet homme est la puissance de Dieu, [celle qui s'appelle] la grande.» Ils l'écoutaient attentivement parce qu'il les avait depuis longtemps étonnés par ses actes de magie. Mais, quand ils eurent cru à Philippe qui leur annonçait la bonne nouvelle du royaume de Dieu et du nom de Jésus-Christ, hommes et femmes se firent baptiser. Simon lui-même crut aussi et, après avoir été baptisé, il ne quittait plus Philippe; il voyait avec étonnement les [grands] miracles et signes qui s'accomplissaient. Les apôtres qui étaient à Jérusalem apprirent que les habitants de la Samarie avaient fait bon accueil à la parole de Dieu, et ils leur envoyèrent Pierre et Jean. Ceux-ci descendirent et prièrent pour eux afin qu'ils reçoivent le Saint-Esprit. En effet, il n'était encore descendu sur aucun d'eux; ils avaient seulement été baptisés au nom du Seigneur Jésus. Alors Pierre et Jean posèrent les mains sur eux et ils reçurent le Saint-Esprit. Voyant que l’Esprit [saint] était donné lorsque les apôtres posaient les mains sur les gens, Simon leur offrit de l'argent en disant: «Accordez-moi aussi ce pouvoir afin que celui sur lequel je poserai les mains reçoive le Saint-Esprit.» Mais Pierre lui dit: «Que ton argent soit perdu avec toi, puisque tu as cru que le don de Dieu s'achète à prix d'argent! Tu n'as ni part ni héritage dans cette affaire, car ton cœur n'est pas droit devant Dieu. Renonce donc à ta méchanceté et prie le Seigneur pour que cette pensée de ton cœur te soit pardonnée, si c’est possible. En effet, je vois que tu es rempli d’amertume et prisonnier du mal.» Simon répondit: «Priez vous-mêmes le Seigneur pour moi, afin qu'il ne m'arrive rien de ce que vous avez dit.» Après avoir rendu témoignage et prêché la parole du Seigneur, Pierre et Jean retournèrent à Jérusalem, annonçant la bonne nouvelle dans beaucoup de villages des Samaritains. Un ange du Seigneur s'adressa à Philippe en disant: «Lève-toi et va en direction du sud, sur le chemin qui descend de Jérusalem à Gaza, celui qui est désert.» Il se leva et partit. Or un eunuque éthiopien, haut fonctionnaire de Candace, la reine d'Ethiopie, et administrateur de tous ses trésors, était venu à Jérusalem pour adorer. Il repartait, assis sur son char, et lisait le prophète Esaïe. L'Esprit dit à Philippe: «Avance et approche-toi de ce char.» Philippe accourut et entendit l'Ethiopien lire le prophète Esaïe. Il lui dit: «Comprends-tu ce que tu lis?» L’homme répondit: «Comment le pourrais-je, si personne ne me l'explique?» et invita Philippe à monter et à s'asseoir avec lui. Le passage de l'Ecriture qu'il lisait était celui-ci: Il a été conduit comme une brebis à l'abattoir et, pareil à un agneau muet devant celui qui le tond, il n'ouvre pas la bouche. Dans son humiliation, la justice lui a été refusée. Et sa génération, qui en parlera? En effet, sa vie a été supprimée de la terre. L'eunuque dit à Philippe: «Je t'en prie, à propos de qui le prophète dit-il cela? Est-ce à propos de lui-même ou de quelqu'un d'autre?» Alors Philippe prit la parole et, en partant de ce texte de l'Ecriture, il lui annonça la bonne nouvelle de Jésus. Comme ils continuaient leur chemin, ils arrivèrent à un point d'eau. L'eunuque dit: «Voici de l'eau. Qu'est-ce qui empêche que je sois baptisé?» [Philippe dit: «Si tu crois de tout ton cœur, cela est possible.» L'eunuque répondit: «Je crois que Jésus-Christ est le Fils de Dieu.»] Il fit arrêter le char. Philippe et l'eunuque descendirent tous les deux dans l'eau et Philippe baptisa l'eunuque. Quand ils furent sortis de l'eau, l'Esprit du Seigneur enleva Philippe et l'eunuque ne le vit plus. Il poursuivit sa route tout joyeux. Philippe se retrouva dans Azot, puis il alla jusqu'à Césarée en évangélisant toutes les villes par lesquelles il passait.
Actes 8:9-40 Bible en français courant (BFC)
Un homme appelé Simon se trouvait déjà auparavant dans cette même ville. Il pratiquait la magie et provoquait l'étonnement de la population de la Samarie. Il prétendait être quelqu'un d'important, et tous, des plus jeunes aux plus âgés, lui accordaient beaucoup d'attention. On disait: «Cet homme est la puissance de Dieu, celle qu'on appelle “la grande puissance”.» Ils lui accordaient donc beaucoup d'attention, car il y avait longtemps qu'il les étonnait par ses pratiques magiques. Mais quand ils crurent à la Bonne Nouvelle que Philippe annonçait au sujet du Royaume de Dieu et de la personne de Jésus-Christ, ils se firent baptiser, hommes et femmes. Simon lui-même crut et fut baptisé; il restait auprès de Philippe et il était rempli d'étonnement en voyant les grands miracles et prodiges qui s'accomplissaient. Les apôtres qui étaient à Jérusalem apprirent que les habitants de la Samarie avaient reçu la parole de Dieu; ils leur envoyèrent alors Pierre et Jean. Quand ceux-ci arrivèrent en Samarie, ils prièrent pour les croyants afin qu'ils reçoivent le Saint-Esprit. En effet, le Saint-Esprit n'était encore descendu sur aucun d'eux; ils avaient seulement été baptisés au nom du Seigneur Jésus. Alors Pierre et Jean posèrent les mains sur eux et ils reçurent le Saint-Esprit. Quand Simon vit que l'Esprit était donné aux croyants lorsque les apôtres posaient les mains sur eux, il offrit de l'argent à Pierre et Jean en disant: «Accordez-moi aussi ce pouvoir, afin que ceux sur qui je poserai les mains reçoivent le Saint-Esprit.» Mais Pierre lui répondit: «Que ton argent soit détruit avec toi, puisque tu as pensé que le don de Dieu peut s'acheter avec de l'argent! Tu n'as aucune part ni aucun droit en cette affaire, car ton cœur n'est pas honnête aux yeux de Dieu. Rejette donc ta mauvaise intention et prie le Seigneur pour que, si possible, il te pardonne d'avoir eu une telle pensée. Je vois, en effet, que tu es plein d'un mal amer et que tu es prisonnier du péché.» Simon dit alors à Pierre et Jean: «Priez vous-mêmes le Seigneur pour moi, afin qu'il ne m'arrive rien de ce que vous avez dit.» Après avoir rendu témoignage en prêchant la parole du Seigneur, les deux apôtres retournèrent à Jérusalem. En chemin, ils annoncèrent la Bonne Nouvelle dans de nombreux villages de Samarie. Un ange du Seigneur dit à Philippe: «Tu vas partir en direction du sud, sur la route qui descend de Jérusalem à Gaza. Cette route est déserte.» Philippe partit aussitôt. Et, sur son chemin, un homme se présenta: c'était un eunuque éthiopien, haut fonctionnaire chargé d'administrer les trésors de Candace, la reine d'Éthiopie; il était venu à Jérusalem pour adorer Dieu et il retournait chez lui. Assis sur son char, il lisait le livre du prophète Ésaïe. Le Saint-Esprit dit à Philippe: «Va rejoindre ce char.» Philippe s'en approcha en courant et entendit l'Éthiopien qui lisait le livre du prophète Ésaïe. Il lui demanda: «Comprends-tu ce que tu lis?» L'homme répondit: «Comment pourrais-je comprendre, si personne ne m'éclaire?» Et il invita Philippe à monter sur le char pour s'asseoir à côté de lui. Le passage de l'Écriture qu'il lisait était celui-ci: «Il a été comme une brebis qu'on mène à l'abattoir, comme un agneau qui reste muet devant celui qui le tond. Il n'a pas dit un mot. Il a été humilié et n'a pas obtenu justice. Qui pourra parler de ses descendants? Car on a mis fin à sa vie sur terre.» Le fonctionnaire demanda à Philippe: «Je t'en prie, dis-moi de qui le prophète parle-t-il ainsi? Est-ce de lui-même ou de quelqu'un d'autre?» Philippe prit alors la parole et, en partant de ce passage de l'Écriture, il lui annonça la Bonne Nouvelle de Jésus. Ils continuèrent leur chemin et arrivèrent à un endroit où il y avait de l'eau. Le fonctionnaire dit alors: «Voici de l'eau; qu'est-ce qui empêche que je sois baptisé?» [ Philippe lui dit: «Si tu crois de tout ton cœur, tu peux être baptisé.» Et l'homme répondit: «Je crois que Jésus-Christ est le Fils de Dieu.»] Puis il fit arrêter le char. Philippe descendit avec lui dans l'eau et il le baptisa. Quand ils furent sortis de l'eau, l'Esprit du Seigneur enleva Philippe. Le fonctionnaire ne le vit plus, mais il continua son chemin tout joyeux. Philippe se retrouva à Azot, puis il passa de ville en ville, en annonçant partout la Bonne Nouvelle, jusqu'au moment où il arriva à Césarée.