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2 Samuel 19:1-8

2 Samuel 19:1-8 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Alors le roi est très bouleversé. Il monte dans la chambre qui est au-dessus de la porte de la ville, et il se met à pleurer. Tout en marchant, il crie : « Mon fils Absalom, mon fils, mon fils Absalom ! Pourquoi est-ce que je ne suis pas mort à ta place ? Absalom, mon fils, mon fils ! » Quelqu’un va prévenir Joab en disant : « Le roi pleure et gémit à cause d’Absalom. » Ce jour-là, la victoire se change en deuil pour tous les soldats. En effet, ils apprennent, eux aussi, que le roi est très triste à cause de la mort de son fils. Ce même jour, ils rentrent en ville en se cachant. Ils ressemblent à des soldats couverts de honte parce qu’ils ont fui au combat. Le roi a un voile sur le visage et il continue à crier : « Mon fils Absalom ! Absalom, mon fils, mon fils ! » Alors Joab va trouver le roi dans sa chambre et lui dit : « Tes soldats t’ont sauvé la vie et la vie de tes fils, de tes filles et de toutes tes femmes. Et aujourd’hui, tu les couvres de honte ! En effet, tu aimes ceux qui te détestent et tu détestes ceux qui t’aiment. En agissant ainsi, tu montres que les chefs de ton armée et tous tes serviteurs fidèles ne comptent pas pour toi. Oui, je le vois : si aujourd’hui, Absalom était vivant et si nous étions tous morts, tu trouverais cela normal. Maintenant, lève-toi et va dire quelques mots à tes soldats pour les encourager. Si tu n’y vas pas, je le jure au nom du SEIGNEUR, aucun ne restera un jour de plus à ton service. Ce serait pour toi un malheur plus grand que tous ceux qui te sont arrivés depuis ta jeunesse. »

2 Samuel 19:1-8 Bible J.N. Darby (JND)

Et le roi fut très ému, et il monta à la chambre au-dessus de la porte et pleura ; et en allant, il disait ainsi : Mon fils Absalom ! mon fils ! mon fils Absalom ! Fussé-je mort à ta place ! Absalom, mon fils, mon fils ! Et on rapporta à Joab : Voici, le roi pleure et mène deuil sur Absalom. Et la victoire fut changée en deuil pour tout le peuple, ce jour-là, car le peuple entendit ce jour-là qu’on disait : Le roi est affligé à cause de son fils. Et le peuple entra, ce jour-là, dans la ville à la dérobée, comme s’en irait à la dérobée un peuple honteux d’avoir pris la fuite dans la bataille. Et le roi avait couvert son visage, et le roi criait à haute voix : Mon fils Absalom ! Absalom, mon fils, mon fils ! Et Joab vint vers le roi dans la maison, et dit : Tu as aujourd’hui rendu honteuse la face de tous tes serviteurs, qui ont aujourd’hui sauvé ta vie, et la vie de tes fils et de tes filles, et la vie de tes femmes, et la vie de tes concubines, en ce que tu aimes ceux qui te haïssent, et que tu hais ceux qui t’aiment ; car tu as montré aujourd’hui que tes chefs et tes serviteurs ne te sont rien ; et je sais aujourd’hui que, si Absalom vivait et que, nous tous, nous soyons morts aujourd’hui, alors cela serait bon à tes yeux. Et maintenant, lève-toi, sors, et parle au cœur de tes serviteurs ; car je jure par l’ÉTERNEL que si tu ne sors, pas un homme ne demeurera cette nuit avec toi ; et ceci sera pire pour toi que tout le mal qui t’est arrivé depuis ta jeunesse jusqu’à maintenant.

2 Samuel 19:1-8 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Alors le roi est très bouleversé. Il monte dans la chambre qui est au-dessus de la porte de la ville, et il se met à pleurer. Tout en marchant, il crie : « Mon fils Absalom, mon fils, mon fils Absalom ! Pourquoi est-ce que je ne suis pas mort à ta place ? Absalom, mon fils, mon fils ! » Quelqu’un va prévenir Joab en disant : « Le roi pleure et gémit à cause d’Absalom. » Ce jour-là, la victoire se change en deuil pour tous les soldats. En effet, ils apprennent, eux aussi, que le roi est très triste à cause de la mort de son fils. Ce même jour, ils rentrent en ville en se cachant. Ils ressemblent à des soldats couverts de honte parce qu’ils ont fui au combat. Le roi a un voile sur le visage et il continue à crier : « Mon fils Absalom ! Absalom, mon fils, mon fils ! » Alors Joab va trouver le roi dans sa chambre et lui dit : « Tes soldats t’ont sauvé la vie et la vie de tes fils, de tes filles et de toutes tes femmes. Et aujourd’hui, tu les couvres de honte ! En effet, tu aimes ceux qui te détestent et tu détestes ceux qui t’aiment. En agissant ainsi, tu montres que les chefs de ton armée et tous tes serviteurs fidèles ne comptent pas pour toi. Oui, je le vois : si aujourd’hui, Absalom était vivant et si nous étions tous morts, tu trouverais cela normal. Maintenant, lève-toi et va dire quelques mots à tes soldats pour les encourager. Si tu n’y vas pas, je le jure au nom du SEIGNEUR, aucun ne restera un jour de plus à ton service. Ce serait pour toi un malheur plus grand que tous ceux qui te sont arrivés depuis ta jeunesse. »

2 Samuel 19:1-8 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)

On vint dire à Joab: Voici, le roi pleure et se lamente à cause d'Absalom. Et la victoire, ce jour-là, fut changée en deuil pour tout le peuple, car en ce jour le peuple entendait dire: Le roi est affligé à cause de son fils. Ce même jour, le peuple rentra dans la ville à la dérobée, comme l'auraient fait des gens honteux d'avoir pris la fuite dans le combat. Le roi s'était couvert le visage, et il criait à haute voix: Mon fils Absalom! Absalom, mon fils, mon fils! Joab entra dans la chambre où était le roi, et dit: Tu couvres aujourd'hui de confusion la face de tous tes serviteurs, qui ont aujourd'hui sauvé ta vie, celle de tes fils et de tes filles, celle de tes femmes et de tes concubines. Tu aimes ceux qui te haïssent et tu hais ceux qui t'aiment, car tu montres aujourd'hui qu'il n'y a pour toi ni chefs ni serviteurs; et je vois maintenant que, si Absalom vivait et que nous soyons tous morts en ce jour, cela serait agréable à tes yeux. Lève-toi donc, sors, et parle au cœur de tes serviteurs! Car je jure par l'Eternel que, si tu ne sors pas, il ne restera pas un homme avec toi cette nuit; et ce sera pour toi pire que tous les malheurs qui te sont arrivés depuis ta jeunesse jusqu'à présent. Alors le roi se leva, et il s'assit à la porte. On fit dire à tout le peuple: Voici, le roi est assis à la porte. Et tout le peuple vint devant le roi.Cependant Israël s'était enfui, chacun dans sa tente.

2 Samuel 19:1-8 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Alors le roi frémit ; il monta dans la chambre supérieure au-dessus de la porte et pleura. Tout en marchant et sanglotant, il ne cessait de répéter : Mon fils Absalom ! Mon fils, mon fils Absalom ! Si seulement j’étais mort à ta place ! Absalom, mon fils, mon fils ! On vint dire à Joab : Voici que le roi pleure et mène deuil sur Absalom. Et ce jour-là, au lieu de chanter la victoire, tout le peuple mena le deuil, car il avait entendu dire que le roi était accablé de douleur à cause de la mort de son fils. Ce même jour, tous les hommes rentrèrent à la dérobée dans la ville comme une armée honteuse d’avoir pris la fuite dans une bataille. Le roi s’était voilé le visage et continuait à crier : Mon fils Absalom ! Absalom, mon fils, mon fils ! Joab alla le trouver dans la maison et lui dit : Tes soldats viennent de te sauver la vie ainsi que celle de tes fils et de tes filles, de tes femmes et de tes épouses de second rang, et aujourd’hui, toi, tu les couvres de honte. Tu aimes ceux qui te haïssent, et tu hais ceux qui t’aiment, et tu montres aujourd’hui que les chefs de ton armée et les hommes qui te servent ne comptent pour rien à tes yeux. Oui, je vois bien à présent que si Absalom était vivant et si nous étions tous morts, tu trouverais cela bien. Maintenant ressaisis-toi, sors et adresse à tes soldats des paroles de félicitations et d’encouragements ! Car je te jure par l’Eternel que si tu ne le fais pas, pas un seul homme ne restera cette nuit avec toi. Et ce sera pour toi le pire des malheurs qui te soit arrivé depuis ta jeunesse.

2 Samuel 19:1-8 La Bible Segond 21 (S21)

Alors le roi, bouleversé, monta dans la chambre située au-dessus de la porte et pleura. Il disait tout en marchant: «Mon fils Absalom! Mon fils, mon fils Absalom! Si seulement j'étais mort à ta place! Absalom, mon fils, mon fils!» On vint dire à Joab: «Le roi pleure et mène le deuil sur Absalom.» Ce jour-là, la victoire fut changée en deuil pour tout le peuple, car le peuple entendait dire: «Le roi est rempli de chagrin à cause de son fils.» Ce jour-là, le peuple rentra dans la ville comme un voleur, comme l'auraient fait des soldats honteux d'avoir pris la fuite au cours du combat. Le roi s'était couvert le visage et criait à haute voix: «Mon fils Absalom! Absalom, mon fils, mon fils!» Joab entra dans la chambre où se trouvait le roi et dit: «Tu couvres aujourd'hui de honte tous tes serviteurs, alors qu'ils ont aujourd'hui sauvé ta vie, celle de tes fils et de tes filles, celle de tes femmes et de tes concubines. Tu aimes ceux qui te montrent de la haine et tu montres de la haine envers ceux qui t'aiment. En effet, tu déclares aujourd'hui que tes chefs et tes serviteurs ne représentent rien pour toi. Je vois maintenant que si Absalom était en vie et que nous soyons tous morts aujourd'hui, tu serais content. Lève-toi donc, sors et parle au cœur de tes serviteurs! En effet, je t'en fais le serment par l'Eternel: si tu ne sors pas, pas un homme ne restera avec toi cette nuit; et ce sera pire pour toi que tous les malheurs que tu as connus depuis ta jeunesse jusqu'à maintenant.»

2 Samuel 19:1-8 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)

On vint dire à Joab: Voici, le roi pleure et se lamente à cause d’Absalom. Et la victoire, ce jour-là, fut changée en deuil pour tout le peuple, car en ce jour le peuple entendait dire: Le roi est affligé à cause de son fils. Ce même jour, le peuple rentra dans la ville à la dérobée, comme l’auraient fait des gens honteux d’avoir pris la fuite dans le combat. Le roi s’était couvert le visage, et il criait à haute voix: Mon fils Absalom! Absalom, mon fils, mon fils! Joab entra dans la chambre où était le roi, et dit: Tu couvres aujourd’hui de confusion la face de tous tes serviteurs, qui ont aujourd’hui sauvé ta vie, celle de tes fils et de tes filles, celle de tes femmes et de tes concubines. Tu aimes ceux qui te haïssent et tu hais ceux qui t’aiment, car tu montres aujourd’hui qu’il n’y a pour toi ni chefs ni serviteurs; et je vois maintenant que, si Absalom vivait et que nous fussions tous morts en ce jour, cela serait agréable à tes yeux. Lève-toi donc, sors, et parle au cœur de tes serviteurs! Car je jure par l’Éternel que, si tu ne sors pas, il ne restera pas un homme avec toi cette nuit; et ce sera pour toi pire que tous les malheurs qui te sont arrivés depuis ta jeunesse jusqu’à présent. Alors le roi se leva, et il s’assit à la porte. On fit dire à tout le peuple: Voici, le roi est assis à la porte. Et tout le peuple vint devant le roi. Cependant Israël s’était enfui, chacun dans sa tente.

2 Samuel 19:1-8 Bible en français courant (BFC)

Alors le roi David fut accablé. Il se rendit dans la pièce située au-dessus de la porte de la ville pour pleurer. Et tout en marchant, il criait: «Oh, mon fils Absalom, mon fils, mon fils, oh, mon Absalom! Pourquoi ne suis-je pas mort à ta place? Oh, Absalom, mon fils, mon fils!» On annonça à Joab que le roi pleurait et se lamentait au sujet d'Absalom. Et ce jour-là, les soldats, au lieu de célébrer la victoire, furent accablés de tristesse. En effet, ils avaient appris, eux aussi, combien le roi était éprouvé par la mort de son fils. Ils rentrèrent en ville furtivement, comme des soldats honteux d'avoir abandonné une bataille. Quant au roi, le visage voilé, il continuait de crier: «Oh, mon fils Absalom, oh, Absalom, mon fils, mon fils!» Alors Joab vint trouver le roi et lui dit: «En agissant ainsi aujourd'hui, tu couvres de honte tes soldats, qui t'ont sauvé la vie, ainsi qu'à tes fils, tes filles et toutes tes épouses. En effet, ton affection va à ceux qui te détestent et ta haine à ceux qui t'aiment. Tu montres que les chefs de ton armée et tous ceux qui te servent fidèlement ne comptent pas pour toi. Oui, je vois: Si aujourd'hui nous étions tous morts, mais qu'Absalom soit encore en vie, tu trouverais cela très bien. Allons, ressaisis-toi maintenant et va dire à tes soldats quelques mots d'encouragement. Si tu n'y vas pas, je te jure au nom du Seigneur qu'aucun d'eux ne restera un jour de plus à ton service. Ce serait là pour toi un malheur plus grand que tous ceux qui t'ont atteint depuis ta jeunesse.»