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2 Rois 7:1-20

2 Rois 7:1-20 Bible J.N. Darby (JND)

Et Élisée dit : Écoutez la parole de l’ÉTERNEL. Ainsi dit l’ÉTERNEL  : Demain à cette heure-ci, la mesure de fleur de farine sera à un sicle, et les deux mesures d’orge à un sicle, à la porte de Samarie. Et le capitaine, sur la main duquel le roi s’appuyait, répondit à l’homme de DIEU, et dit : Voici, quand l’ÉTERNEL ferait des fenêtres aux cieux, cela arriverait-il ? Et [Élisée] dit : Voici, tu le verras de tes yeux, mais tu n’en mangeras pas. Et il y avait à l’entrée de la porte quatre hommes lépreux, et ils se dirent l’un à l’autre : Pourquoi sommes-nous assis ici jusqu’à ce que nous mourions ? Si nous disons : Entrons dans la ville, la famine est dans la ville, et nous y mourrons ; et si nous restons assis ici, nous mourrons. Et maintenant, venez, et passons dans le camp des Syriens : s’ils nous laissent vivre, nous vivrons ; et s’ils nous font mourir, nous mourrons. Et ils se levèrent au crépuscule pour entrer dans le camp des Syriens ; et ils vinrent jusqu’au bout du camp des Syriens, et voici, il n’y avait personne. Car le Seigneur avait fait entendre dans le camp des Syriens un bruit de chars et un bruit de chevaux, le bruit d’une grande armée ; et ils se dirent l’un à l’autre : Voici, le roi d’Israël a pris à sa solde contre nous les rois des Héthiens et les rois des Égyptiens, pour venir sur nous. Et ils se levèrent au crépuscule, et s’enfuirent ; et ils abandonnèrent leurs tentes, et leurs chevaux, et leurs ânes, le camp tel quel ; et ils s’enfuirent pour [sauver] leur vie. Et ces lépreux vinrent jusqu’au bout du camp ; et ils entrèrent dans une tente, et mangèrent et burent, et en emportèrent de l’argent, et de l’or, et des vêtements ; et ils s’en allèrent et les cachèrent. Et ils retournèrent, et entrèrent dans une autre tente et en emportèrent [du butin], et ils s’en allèrent et le cachèrent. Et ils se dirent l’un à l’autre : Nous ne faisons pas bien. Ce jour est un jour de bonnes nouvelles, et nous nous taisons. Si nous attendons jusqu’à la lumière du matin, l’iniquité nous trouvera. Et maintenant, venez, allons et rapportons-le à la maison du roi. Et ils vinrent et crièrent aux portiers de la ville, et leur rapportèrent, disant : Nous sommes venus dans le camp des Syriens ; et voici, il n’y avait personne, ni voix d’homme, seulement les chevaux attachés, et les ânes attachés, et les tentes comme elles étaient. Et les portiers le crièrent et le rapportèrent dans la maison du roi, à l’intérieur. Et le roi se leva de nuit, et dit à ses serviteurs : Je veux vous dire ce que les Syriens nous ont fait : ils savent que nous avons faim, et ils sont sortis du camp pour se cacher dans les champs, disant : Ils sortiront hors de la ville, et nous les prendrons vivants, et nous entrerons dans la ville. Et un de ses serviteurs répondit et dit : Qu’on prenne donc cinq des chevaux restants, qui demeurent de reste dans la [ville] ; voici, ils sont comme toute la multitude d’Israël qui est de reste en elle ; voici, ils sont comme toute la multitude d’Israël qui a péri. Envoyons-les, et nous verrons. Et ils prirent deux chars avec leurs chevaux, et le roi envoya après le camp des Syriens, disant : Allez et voyez. Et ils s’en allèrent après eux jusqu’au Jourdain ; et voici, tout le chemin était plein de vêtements et d’objets que les Syriens avaient jetés dans leur fuite précipitée ; et les messagers s’en retournèrent et le rapportèrent au roi. Et le peuple sortit, et pilla le camp des Syriens : et la mesure de fleur de farine fut à un sicle, et les deux mesures d’orge à un sicle, selon la parole de l’ÉTERNEL. Et le roi avait préposé à la garde de la porte le capitaine sur la main duquel il s’appuyait ; et le peuple le foula aux pieds dans la porte, et il mourut, selon ce qu’avait dit l’homme de DIEU, ce qu’il avait dit quand le roi était descendu vers lui. Et il arriva selon la parole que l’homme de DIEU avait adressée au roi, disant : Les deux mesures d’orge seront à un sicle, et la mesure de fleur de farine sera à un sicle, demain à cette heure-ci, à la porte de Samarie. Et le capitaine avait répondu à l’homme de DIEU, et avait dit : Voici, quand l’ÉTERNEL ferait des fenêtres aux cieux, pareille chose arriverait-elle ? Et il dit : Voici, tu le verras de tes yeux, mais tu n’en mangeras pas. Et il lui en arriva ainsi : le peuple le foula aux pieds dans la porte, et il mourut.

2 Rois 7:1-20 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Élisée répond : « Écoutez tous cette parole du SEIGNEUR : “Demain à la même heure, une pièce d’argent suffira pour payer 12 kilos de farine ou 24 kilos d’orge au marché de Samarie.” » Un officier du roi d’Israël, celui qui est toujours avec lui, demande à Élisée : « Même si le SEIGNEUR ouvre des fenêtres dans le toit du ciel, est-ce que tes paroles peuvent se réaliser ? » Élisée répond : « Tu le verras toi-même, mais tu ne mangeras pas de cette nourriture. » Quatre lépreux sont installés près de la porte de la ville. Ils se disent l’un à l’autre : « Pourquoi rester ici à attendre la mort ? Si nous décidons d’entrer dans la ville, nous ne trouverons rien à manger et nous mourrons. Si nous restons ici, nous mourrons aussi. Allons plutôt au camp des Syriens et livrons-nous à eux. S’ils nous laissent en vie, tant mieux, nous vivrons. S’ils nous tuent, tant pis, nous mourrons ! » Vers le soir, ils se lèvent pour aller au camp des Syriens. Ils arrivent près du camp, mais ils ne trouvent personne. En effet, dans le camp des Syriens, le Seigneur a fait entendre le bruit d’une grande armée avec des chars et des chevaux. Les Syriens se sont dit entre eux : « Le roi d’Israël a payé les rois des Hittites et des Égyptiens pour venir nous attaquer ! » À la tombée de la nuit, ils ont donc fui pour sauver leur vie. Ils ont abandonné leurs tentes, leurs chevaux et leurs ânes en laissant le camp comme il était. Les lépreux traversent tout le camp et entrent sous une tente. Là, ils mangent et ils boivent. Ils emportent de l’argent, de l’or et des vêtements qu’ils vont cacher. Ensuite, ils entrent dans une autre tente, et ils emportent des objets qu’ils vont cacher aussi. Les lépreux se disent entre eux : « Nous n’agissons pas bien ! Aujourd’hui, nous avons appris une bonne nouvelle. Si nous ne la faisons pas connaître avant demain matin, nous serons dans notre tort. Nous devons annoncer cette nouvelle au palais du roi. » Ils retournent à la porte de la ville de Samarie et appellent les gardiens. Ils leur disent : « Nous sommes entrés dans le camp des Syriens. Il n’y a plus personne. Nous n’avons entendu aucune voix humaine. Il ne reste que les chevaux et les ânes, qui sont attachés. Les tentes sont abandonnées. » Les gardiens appellent quelqu’un pour aller porter ce message à l’intérieur du palais du roi. Le roi se lève en pleine nuit, puis il dit à ceux qui l’entourent : « Je vais vous expliquer ce que les Syriens nous préparent. Ils savent que nous n’avons plus rien à manger. Ils ont donc quitté le camp pour se cacher dans la campagne. Ils se disent : “Quand les Israélites sortiront de Samarie, nous les prendrons vivants et nous entrerons dans la ville.” » Un des serviteurs propose au roi : « Prenons cinq des chevaux encore vivants. De toute façon, ils risquent de mourir comme tous les habitants de la ville. Envoyons quelques hommes avec eux, et nous verrons bien ! » Le roi fait préparer deux chars avec leurs chevaux et il envoie des soldats à la recherche de l’armée syrienne pour savoir ce qui se passe. Les soldats poursuivent les Syriens jusqu’au fleuve Jourdain. Or, tout le long du chemin, il y a des vêtements et des objets en grande quantité. Les Syriens les ont abandonnés pour fuir plus vite. Alors les envoyés reviennent annoncer cette nouvelle au roi. Aussitôt les habitants de Samarie sortent de la ville et pillent le camp des Syriens. Et, comme le SEIGNEUR l’a annoncé, une pièce d’argent suffit pour payer 12 kilos de farine ou 24 kilos d’orge. Le roi donne l’ordre à son officier, celui qui est toujours avec lui, d’aller surveiller ce qui se passe à la porte de la ville. Mais la foule l’écrase contre la porte, et il meurt comme le prophète Élisée l’a annoncé. En effet, la veille, Élisée a annoncé au roi : « Demain, à la même heure, une pièce d’argent suffira pour payer 12 kilos de farine ou 24 kilos d’orge au marché de Samarie. » Et l’officier du roi a demandé : « Même si le SEIGNEUR ouvre des fenêtres dans le toit du ciel, est-ce que tes paroles peuvent se réaliser ? » Élisée a répondu : « Tu le verras toi-même, mais tu ne mangeras pas de cette nourriture. » C’est bien ce qui arrive. Le peuple écrase l’officier du roi contre la porte, et il meurt.

2 Rois 7:1-20 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)

Elisée dit: Ecoutez la parole de l'Eternel! Ainsi parle l'Eternel: Demain, à cette heure, on aura une mesure de fleur de farine pour un sicle et deux mesures d'orge pour un sicle, à la porte de Samarie. L'officier sur la main duquel s'appuyait le roi répondit à l'homme de Dieu: Quand l'Eternel ferait des fenêtres au ciel, pareille chose arriverait-elle? Et Elisée dit: Tu le verras de tes yeux; mais tu n'en mangeras point. Il y avait à l'entrée de la porte quatre lépreux, qui se dirent l'un à l'autre: Quoi! resterons-nous ici jusqu'à ce que nous mourions? Si nous songeons à entrer dans la ville, la famine est dans la ville, et nous y mourrons; et si nous restons ici, nous mourrons également. Allons nous jeter dans le camp des Syriens; s'ils nous laissent vivre, nous vivrons et s'ils nous font mourir, nous mourrons. Ils partirent donc au crépuscule, pour se rendre au camp des Syriens; et lorsqu'ils furent arrivés à l'entrée du camp des Syriens, voici, il n'y avait personne. Le Seigneur avait fait entendre dans le camp des Syriens un bruit de chars et un bruit de chevaux, le bruit d'une grande armée, et ils s'étaient dit l'un à l'autre: Voici, le roi d'Israël a pris à sa solde contre nous les rois des Héthiens et les rois des Egyptiens pour venir nous attaquer. Et ils se levèrent et prirent la fuite au crépuscule, abandonnant leurs tentes, leurs chevaux et leurs ânes, le camp tel qu'il était, et ils s'enfuirent pour sauver leur vie. Les lépreux, étant arrivés à l'entrée du camp, pénétrèrent dans une tente, mangèrent et burent, et en emportèrent de l'argent, de l'or, et des vêtements, qu'ils allèrent cacher. Ils revinrent, pénétrèrent dans une autre tente, et en emportèrent des objets qu'ils allèrent cacher. Puis ils se dirent l'un à l'autre: Nous n'agissons pas bien! Cette journée est une journée de bonne nouvelle; si nous gardons le silence et si nous attendons jusqu'à la lumière du matin, le châtiment nous atteindra. Venez maintenant, et allons informer la maison du roi. Ils partirent, et ils appelèrent les gardes de la porte de la ville, auxquels ils firent ce rapport: Nous sommes entrés dans le camp des Syriens, et voici, il n'y a personne, on n'y entend aucune voix d'homme; il n'y a que des chevaux attachés et des ânes attachés, et les tentes comme elles étaient. Les gardes de la porte crièrent, et ils transmirent ce rapport à l'intérieur de la maison du roi. Le roi se leva de nuit, et il dit à ses serviteurs: Je veux vous communiquer ce que nous font les Syriens. Comme ils savent que nous sommes affamés, ils ont quitté le camp pour se cacher dans les champs, et ils se sont dit: Quand ils sortiront de la ville, nous les saisirons vivants, et nous entrerons dans la ville. L'un des serviteurs du roi répondit: Que l'on prenne cinq des chevaux qui restent encore dans la ville – ils sont comme toute la multitude d'Israël qui y est restée, ils sont comme toute la multitude d'Israël qui dépérit – et envoyons voir ce qui se passe. On prit deux chars avec les chevaux, et le roi envoya des messagers sur les traces de l'armée des Syriens, en disant: Allez et voyez. Ils allèrent après eux jusqu'au Jourdain; et voici, toute la route était pleine de vêtements et d'objets que les Syriens avaient jetés dans leur précipitation. Les messagers revinrent, et le rapportèrent au roi. Le peuple sortit, et pilla le camp des Syriens. Et l'on eut une mesure de fleur de farine pour un sicle et deux mesures d'orge pour un sicle, selon la parole de l'Eternel. Le roi avait remis la garde de la porte à l'officier sur la main duquel il s'appuyait; mais cet officier fut écrasé à la porte par le peuple et il mourut, selon la parole qu'avait prononcée l'homme de Dieu quand le roi était descendu vers lui. L'homme de Dieu avait dit alors au roi: On aura deux mesures d'orge pour un sicle et une mesure de fleur de farine pour un sicle, demain, à cette heure, à la porte de Samarie. Et l'officier avait répondu à l'homme de Dieu: Quand l'Eternel ferait des fenêtres au ciel, pareille chose arriverait-elle? Et Elisée avait dit: Tu le verras de tes yeux; mais tu n'en mangeras point. C'est en effet ce qui lui arriva: il fut écrasé à la porte par le peuple, et il mourut.

2 Rois 7:1-20 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Elisée répondit : Ecoutez ce que dit l’Eternel. Voici ce qu’il déclare : « Demain, à cette heure, sur la place de Samarie à la porte de la ville, on vendra dix kilos de fine farine pour une pièce d’argent et vingt kilos d’orge pour le même prix. » L’aide de camp du roi qui l’accompagnait répondit à l’homme de Dieu : Même si l’Eternel perçait des trous dans le ciel, comment pareille chose pourrait-elle se réaliser ? Elisée répliqua : Tu le verras de tes propres yeux, mais tu n’en mangeras pas. Près de la porte d’entrée de la ville se trouvaient quatre hommes atteints d’une maladie de peau rendant impur. Ils se dirent l’un à l’autre : A quoi bon rester ici à attendre la mort ? Si nous décidons d’entrer dans la ville, nous y mourrons, car la famine y règne. Si nous restons ici, nous mourrons également. Venez, descendons plutôt au camp des Syriens et rendons-nous à eux ! S’ils nous laissent vivre, tant mieux, et s’ils nous font mourir, eh bien ! nous mourrons ! Vers le soir, ils se préparèrent donc à descendre au camp des Syriens. Lorsqu’ils furent arrivés à la limite du camp, il n’y avait plus personne. Le Seigneur avait fait entendre aux assiégeants le bruit d’une grande armée venant avec des chars et des chevaux. Les Syriens s’étaient dit l’un à l’autre : Le roi d’Israël a certainement enrôlé contre nous les rois des Hittites et les rois des Egyptiens pour qu’ils viennent nous attaquer. Ainsi, pour sauver leurs vies, ils se levèrent et s’enfuirent à la tombée de la nuit, abandonnant leurs tentes, leurs chevaux, leurs ânes et laissant leur camp tel quel. Lorsque les hommes affectés d’une maladie de la peau furent donc arrivés à la limite du camp, ils entrèrent dans une tente, où ils mangèrent et burent ce qu’ils y trouvèrent. Puis ils emportèrent de l’argent, de l’or et des vêtements pour les cacher ailleurs. Ensuite, ils revinrent et pénétrèrent sous une autre tente, y prirent ce qu’ils trouvèrent et allèrent encore le cacher. Puis ils se dirent l’un à l’autre : Ce n’est pas bien, ce que nous faisons là ! Ce jour est un jour de bonne nouvelle. Si nous gardons cette bonne nouvelle pour nous et si nous attendons qu’il fasse jour pour la publier, le châtiment nous atteindra. Venez maintenant, allons prévenir le palais royal. Ils retournèrent à la ville et appelèrent les sentinelles. Ils leur firent ce rapport : Nous avons poussé jusqu’au camp des Syriens, et voici qu’il n’y a plus personne, on n’y entend plus une seule voix humaine ; il reste seulement des chevaux et des ânes attachés, les tentes ont été abandonnées telles quelles. Les sentinelles de la porte appelèrent quelqu’un de l’intérieur pour transmettre la nouvelle au palais royal. Le roi se leva au milieu de la nuit et dit à ses ministres : A mon avis, voici ce que les Syriens sont en train de machiner contre nous : ils savent que nous sommes affamés, c’est pourquoi ils ont quitté leur camp pour se cacher dans la campagne. Ils doivent se dire : « Les assiégés vont sortir de la ville, alors nous les saisirons vivants et nous pénétrerons dans la ville. » L’un des ministres proposa la chose suivante : On pourrait envoyer quelques hommes et les cinq chevaux qui nous restent encore dans la ville. Nous n’avons rien à y perdre, car ils connaîtront le même sort que celui de toute la multitude d’Israël qui reste dans la ville et qui va vers sa fin. Envoyons-les donc et nous verrons bien. On équipa donc deux chars attelés de chevaux, et le roi envoya une patrouille à la recherche de l’armée syrienne en leur disant d’aller voir ce qui se passait. La patrouille suivit les traces de l’armée syrienne jusqu’au Jourdain. Les hommes virent la route toute jonchée de vêtements et de matériel que les Syriens avaient abandonnés dans leur précipitation. Ils revinrent faire leur rapport au roi. Alors le peuple de Samarie se précipita vers le camp des Syriens pour le piller. C’est ainsi que l’on put acheter dix kilos de fine farine ou vingt kilos d’orge pour une pièce d’argent, comme l’Eternel l’avait dit. Le roi avait chargé son aide de camp qui l’accompagnait de surveiller la porte de la ville, mais celui-ci fut piétiné là par la foule et il mourut, comme l’homme de Dieu l’avait annoncé au moment où le roi était venu le trouver. En effet, c’est à ce moment qu’il avait dit au roi : Demain, à cette heure, sur la place de Samarie, à la porte de la ville, on pourra acheter vingt kilos d’orge ou dix kilos de fine farine pour une pièce d’argent. Et l’aide de camp lui avait répliqué : Même si l’Eternel perçait des trous dans le ciel, comment pareille chose pourrait-elle se réaliser ? A quoi Elisée avait répondu : Tu le verras de tes propres yeux, mais tu n’en mangeras pas. C’est bien en effet ce qui lui arriva : la foule le piétina à la porte de la ville, et il mourut.

2 Rois 7:1-20 Bible Segond 21 (S21)

Elisée dit: «Ecoutez la parole de l'Eternel! ‘Voici ce que dit l'Eternel: Demain, à la même heure, on pourra avoir 7 litres de fleur de farine pour une pièce d’argent et 14 litres d'orge pour une pièce d’argent, à la porte de Samarie.’» L'officier chargé de soutenir le roi répondit à l'homme de Dieu: «Même si l'Eternel faisait des fenêtres au ciel, une telle chose ne pourrait pas se produire!» Elisée dit: «Tu le verras de tes yeux, mais tu n'en mangeras pas.» Il y avait à l'entrée de la ville quatre lépreux qui se dirent l'un à l'autre: «Pourquoi rester ici jusqu'à notre mort? Si nous envisageons d’entrer dans la ville, la famine y règne et nous mourrons. Mais si nous restons ici, nous mourrons aussi. Allons nous livrer dans le camp des Syriens! S'ils nous laissent vivre, nous vivrons, et s'ils nous font mourir, nous mourrons.» Ils partirent donc au crépuscule pour se rendre au camp des Syriens. Lorsqu'ils arrivèrent à l'entrée du camp, il n'y avait personne. En effet, le Seigneur y avait fait entendre un bruit de chars et de chevaux, le bruit d'une grande armée, et ils s'étaient dit l'un à l'autre: «Le roi d'Israël a enrôlé contre nous les rois des Hittites et ceux des Egyptiens pour venir nous attaquer.» Ils s'étaient levés et avaient pris la fuite au crépuscule, en abandonnant leurs tentes, leurs chevaux et leurs ânes; le camp était resté tel quel. Ils s'étaient enfuis pour sauver leur vie. Arrivés à l'entrée du camp, les lépreux pénétrèrent dans une tente, mangèrent et burent. Ils en emportèrent aussi de l'argent, de l'or et des habits qu'ils allèrent cacher. Ils revinrent, pénétrèrent dans une autre tente et en emportèrent des objets qu'ils allèrent cacher. Puis ils se dirent l'un à l'autre: «Nous n'agissons pas bien. Cette journée est une journée de bonne nouvelle. Si nous gardons le silence et que nous attendions jusqu'à la lumière du matin, nous en serons punis. Venez maintenant, allons faire un rapport au palais royal.» Ils partirent, appelèrent un homme qui gardait la porte de la ville et annoncèrent: «Nous sommes entrés dans le camp des Syriens et il n'y a personne. On n'y entend aucune voix d'homme; il n'y a que des chevaux et des ânes attachés, et les tentes sont restées telles quelles.» Le garde appela les autres gardes et ils transmirent ce rapport à l'intérieur du palais royal. Le roi se leva alors qu’il faisait encore nuit et dit à ses serviteurs: «Je vais vous dire ce que nous font les Syriens. Comme ils savent que nous sommes affamés, ils ont quitté le camp pour se cacher dans les champs et ils se sont dit: ‘Quand ils sortiront de la ville, nous nous emparerons d’eux vivants et nous entrerons dans la ville.’» L'un des serviteurs du roi répondit: «Que l'on prenne cinq des chevaux qui restent encore dans la ville. De toute façon, ils sont comme toute la population d'Israël qui est restée là: ils sont à bout, comme toute la population d'Israël. Prenons-les et envoyons quelqu'un voir ce qui se passe.» On prit deux chars avec leurs chevaux, et le roi envoya des hommes sur les traces de l'armée syrienne en disant: «Allez voir!» Ils suivirent les Syriens jusqu'au Jourdain et virent que toute la route était pleine d’habits et d'objets qu’ils avaient jetés dans leur précipitation. Les messagers revinrent en informer le roi. Le peuple sortit et pilla le camp des Syriens. On eut 7 litres de fleur de farine pour une pièce d’argent et 14 litres d'orge pour une pièce d’argent, conformément à la parole de l'Eternel. Le roi avait confié la garde de la porte à l'officier qui le soutenait, mais cet officier fut écrasé à la porte par le peuple et il mourut, conformément à ce qu'avait dit l'homme de Dieu quand le roi était descendu vers lui. L'homme de Dieu avait alors dit au roi: «On pourra avoir 14 litres d'orge pour une pièce d’argent et 7 litres de fleur de farine pour une pièce d’argent, demain, à la même heure, à la porte de Samarie.» L'officier avait répondu à l'homme de Dieu: «Même si l'Eternel faisait des fenêtres au ciel, une telle chose ne pourrait pas se produire!» Et Elisée avait dit: «Tu le verras de tes yeux, mais tu n'en mangeras pas.» C'est en effet ce qui arriva à cet homme: il fut écrasé à la porte par le peuple et il mourut.

2 Rois 7:1-20 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)

Élisée dit: Écoutez la parole de l’Éternel! Ainsi parle l’Éternel: Demain, à cette heure, on aura une mesure de fleur de farine pour un sicle et deux mesures d’orge pour un sicle, à la porte de Samarie. L’officier sur la main duquel s’appuyait le roi répondit à l’homme de Dieu: Quand l’Éternel ferait des fenêtres au ciel, pareille chose arriverait-elle? Et Élisée dit: Tu le verras de tes yeux; mais tu n’en mangeras point. Il y avait à l’entrée de la porte quatre lépreux, qui se dirent l’un à l’autre: Quoi! Resterons-nous ici jusqu’à ce que nous mourions? Si nous songeons à entrer dans la ville, la famine est dans la ville, et nous y mourrons; et si nous restons ici, nous mourrons également. Allons nous jeter dans le camp des Syriens; s’ils nous laissent vivre, nous vivrons et s’ils nous font mourir, nous mourrons. Ils partirent donc au crépuscule, pour se rendre au camp des Syriens; et lorsqu’ils furent arrivés à l’entrée du camp des Syriens, voici, il n’y avait personne. Le Seigneur avait fait entendre dans le camp des Syriens un bruit de chars et un bruit de chevaux, le bruit d’une grande armée, et ils s’étaient dit l’un à l’autre: Voici, le roi d’Israël a pris à sa solde contre nous les rois des Héthiens et les rois des Égyptiens pour venir nous attaquer. Et ils se levèrent et prirent la fuite au crépuscule, abandonnant leurs tentes, leurs chevaux et leurs ânes, le camp tel qu’il était, et ils s’enfuirent pour sauver leur vie. Les lépreux, étant arrivés à l’entrée du camp, pénétrèrent dans une tente, mangèrent et burent, et en emportèrent de l’argent, de l’or, et des vêtements, qu’ils allèrent cacher. Ils revinrent, pénétrèrent dans une autre tente, et en emportèrent des objets qu’ils allèrent cacher. Puis ils se dirent l’un à l’autre: Nous n’agissons pas bien! Cette journée est une journée de bonne nouvelle; si nous gardons le silence et si nous attendons jusqu’à la lumière du matin, le châtiment nous atteindra. Venez maintenant, et allons informer la maison du roi. Ils partirent, et ils appelèrent les gardes de la porte de la ville, auxquels ils firent ce rapport: Nous sommes entrés dans le camp des Syriens, et voici, il n’y a personne, on n’y entend aucune voix d’homme; il n’y a que des chevaux attachés et des ânes attachés, et les tentes comme elles étaient. Les gardes de la porte crièrent, et ils transmirent ce rapport à l’intérieur de la maison du roi. Le roi se leva de nuit, et il dit à ses serviteurs: Je veux vous communiquer ce que nous font les Syriens. Comme ils savent que nous sommes affamés, ils ont quitté le camp pour se cacher dans les champs, et ils se sont dit: Quand ils sortiront de la ville, nous les saisirons vivants, et nous entrerons dans la ville. L’un des serviteurs du roi répondit: Que l’on prenne cinq des chevaux qui restent encore dans la ville, ils sont comme toute la multitude d’Israël qui y est restée, ils sont comme toute la multitude d’Israël qui dépérit, et envoyons voir ce qui se passe. On prit deux chars avec les chevaux, et le roi envoya des messagers sur les traces de l’armée des Syriens, en disant: Allez et voyez. Ils allèrent après eux jusqu’au Jourdain; et voici, toute la route était pleine de vêtements et d’objets que les Syriens avaient jetés dans leur précipitation. Les messagers revinrent, et le rapportèrent au roi. Le peuple sortit, et pilla le camp des Syriens. Et l’on eut une mesure de fleur de farine pour un sicle et deux mesures d’orge pour un sicle, selon la parole de l’Éternel. Le roi avait remis la garde de la porte à l’officier sur la main duquel il s’appuyait; mais cet officier fut écrasé à la porte par le peuple et il mourut, selon la parole qu’avait prononcée l’homme de Dieu quand le roi était descendu vers lui. L’homme de Dieu avait dit alors au roi: On aura deux mesures d’orge pour un sicle et une mesure de fleur de farine pour un sicle, demain, à cette heure, à la porte de Samarie. Et l’officier avait répondu à l’homme de Dieu: Quand l’Éternel ferait des fenêtres au ciel, pareille chose arriverait-elle? Et Élisée avait dit: Tu le verras de tes yeux; mais tu n’en mangeras point. C’est en effet ce qui lui arriva: il fut écrasé à la porte par le peuple, et il mourut.

2 Rois 7:1-20 Bible en français courant (BFC)

Élisée répondit: «Écoutez tous ce que déclare le Seigneur: “Demain à la même heure, on ne payera qu'une pièce d'argent pour douze kilos de farine ou vingt-quatre kilos d'orge, au marché de Samarie.” » L'aide de camp du roi, celui qui l'accompagnait toujours, répliqua: «Même si le Seigneur envoyait du grain en perçant des trous dans la voûte du ciel, ce que tu viens de dire pourrait-il se réaliser?» – «Eh bien, répondit Élisée, tu le verras, mais tu n'en profiteras pas.» Il y avait quatre lépreux, installés hors de la ville, près de la grande porte. Ils se dirent l'un à l'autre: «Pourquoi restons-nous ici en attendant la mort? Si nous décidons d'entrer dans la ville, nous y mourrons parce qu'on n'y trouve plus rien à manger; si nous restons ici, nous mourrons également! Descendons plutôt au camp des Syriens et rendons-nous à eux; s'ils nous laissent vivre, tant mieux, nous vivrons; et s'ils nous font mourir, eh bien, nous mourrons!» Vers le soir, ils descendirent donc en direction du camp des Syriens. Ils arrivèrent à la limite du camp, mais ils ne trouvèrent personne. En effet, dans le camp des Syriens, le Seigneur avait fait entendre le bruit d'une puissante armée, équipée de chevaux et de chars. Les Syriens s'étaient dit les uns aux autres: «Le roi d'Israël a payé les rois des Hittites et des Égyptiens pour qu'ils envoient leurs armées contre nous!» A la nuit tombée, ils s'étaient donc enfuis pour sauver leur vie; ils avaient abandonné leur camp tel qu'il était, laissant sur place les tentes, les chevaux et les ânes. Les quatre lépreux arrivèrent donc à la limite du camp. Ils entrèrent dans une tente, où ils mangèrent et burent ce qu'ils y trouvèrent; puis ils emportèrent de l'argent, de l'or et des vêtements qu'ils allèrent cacher ailleurs; ensuite ils entrèrent dans une autre tente et emportèrent divers objets qu'ils allèrent aussi cacher. Mais ils se dirent alors l'un à l'autre: «Ce que nous faisons là n'est pas bien: aujourd'hui nous connaissons une bonne nouvelle et nous la gardons pour nous. Si nous attendons qu'il fasse jour pour la publier, nous serons certainement punis. Allons! Nous devons porter cette nouvelle au palais royal.» Ils retournèrent à la ville, appelèrent les sentinelles de la grande porte et les informèrent: «Nous sommes allés au camp des Syriens, dirent-ils; il n'y a plus personne, nous n'avons pas entendu une voix humaine. Il ne reste que les chevaux et les ânes attachés et les tentes abandonnées.» Les sentinelles appelèrent aussitôt quelqu'un pour transmettre ce message à l'intérieur du palais royal. Le roi se leva, en pleine nuit, puis il dit à son entourage: «Je vais vous expliquer ce que les Syriens sont en train de nous préparer! Ils savent que nous sommes affamés: c'est pourquoi ils ont quitté leur camp et sont allés se cacher dans la campagne. Ils se disent que nous sortirons de Samarie, et qu'alors ils pourront nous capturer vivants et pénétrer dans la ville.» Un des officiers proposa au roi: «Prenons cinq des chevaux qui sont encore vivants – de toute façon, ils risquent de mourir comme tous les habitants de la ville – et envoyons quelques hommes avec ces chevaux pour voir ce qui se passe.» Le roi fit donc atteler deux chars et envoya une patrouille pour rechercher l'armée syrienne et voir ce qui se passait. La patrouille suivit les traces de l'armée jusqu'au Jourdain; tout le long du chemin, il y avait des quantités de vêtements et d'objets dont les Syriens s'étaient débarrassés pour fuir plus vite. Alors les envoyés revinrent en informer le roi. Aussitôt, les habitants de Samarie descendirent vers le camp abandonné par les Syriens, pour le piller. Et, comme le Seigneur l'avait annoncé, on ne paya qu'une pièce d'argent pour douze kilos de farine ou vingt-quatre kilos d'orge. Le roi avait ordonné à son aide de camp, celui qui l'accompagnait toujours, d'aller surveiller ce qui se passait au marché, à la porte de la ville; mais la foule massée à cet endroit le piétina et il mourut, comme le prophète Élisée l'avait annoncé, lorsque le roi d'Israël était venu le trouver. En effet, Élisée avait annoncé au roi: «Demain à la même heure, on ne payera qu'une pièce d'argent pour vingt-quatre kilos d'orge ou douze kilos de farine, au marché de Samarie.» L'aide de camp du roi avait alors répliqué: «Même si le Seigneur envoyait du grain en perçant des trous dans la voûte du ciel, ce que tu viens de dire pourrait-il se réaliser?», et Élisée lui avait répondu: «Tu le verras, mais tu n'en profiteras pas.» C'est bien ce qui arriva: la foule massée à la porte de la ville piétina l'aide de camp, qui mourut.