2 Rois 6:24-31
2 Rois 6:24-31 Bible J.N. Darby (JND)
Et il arriva, après cela, que Ben-Hadad, roi de Syrie, rassembla toute son armée, et monta, et assiégea Samarie. Et il y eut une grande famine dans Samarie ; et voici, ils la serraient de près, jusqu’à ce que la tête d’un âne fut à 80 [sicles] d’argent, et le quart d’un kab de fiente de pigeon à cinq [sicles] d’argent. Et il arriva, comme le roi d’Israël passait sur la muraille, qu’une femme lui cria, disant : Sauve-moi, ô roi, mon seigneur ! Et il dit : Si l’ÉTERNEL ne te sauve pas, comment te sauverais-je ? Serait-ce au moyen de l’aire ou de la cuve ? Et le roi lui dit : Qu’as-tu ? Et elle dit : Cette femme-là m’a dit : Donne ton fils, et nous le mangerons aujourd’hui ; et demain nous mangerons mon fils. Et nous avons bouilli mon fils, et nous l’avons mangé ; et le jour après, je lui ai dit : Donne ton fils, et nous le mangerons. Et elle a caché son fils. Et aussitôt que le roi entendit les paroles de la femme, il déchira ses vêtements. Et comme il passait sur la muraille, le peuple le vit : et voici, il avait un sac sur sa chair, en dedans. Et [le roi] dit : Ainsi DIEU me fasse, et ainsi il y ajoute, si la tête d’Élisée, fils de Shaphath, demeure sur lui aujourd’hui !
2 Rois 6:24-31 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Quelque temps après, Ben-Hadad, roi de Syrie, rassemble toute son armée. Puis il va attaquer Samarie. L’attaque dure si longtemps qu’il n’y a plus rien à manger dans la ville. Une tête d’âne coûte 80 pièces d’argent, un demi-kilo de pois chiches coûte 5 pièces d’argent. Un jour, le roi d’Israël passe sur le mur de la ville. Une femme lui crie : « Au secours, mon seigneur le roi ! » Mais le roi lui répond : « Si le SEIGNEUR ne t’aide pas, moi non plus, je ne peux pas t’aider. Il n’y a plus de blé ni de vin en réserve. » Le roi lui dit encore : « Qu’est-ce que tu veux ? » Elle répond : « Tu vois cette femme ! L’autre jour, elle m’a dit : “Donne ton fils !” Nous le mangerons aujourd’hui, et demain nous mangerons le mien. Nous avons fait cuire mon fils et nous l’avons mangé. Le jour suivant, je lui ai dit : “Donne ton fils pour que nous le mangions.” Mais elle l’a caché. » Quand le roi entend les paroles de cette femme, il déchire ses vêtements. Comme il est sur le mur de la ville, les habitants peuvent voir que par-dessous, il porte un habit grossier directement sur le corps . Le roi dit alors : « Que Dieu me punisse très sévèrement si ce soir, Élisée, fils de Chafath, a encore la tête sur les épaules ! »
2 Rois 6:24-31 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Après cela, Ben-Hadad, roi de Syrie, ayant rassemblé toute son armée, monta et assiégea Samarie. Il y eut une grande famine dans Samarie; et ils la serrèrent tellement qu'une tête d'âne valait quatre-vingts sicles d'argent, et le quart d'un cab de fiente de pigeon cinq sicles d'argent. Et comme le roi passait sur la muraille, une femme lui cria: Sauve-moi, ô roi, mon seigneur! Il répondit: Si l'Eternel ne te sauve pas, avec quoi te sauverais-je? avec le produit de l'aire ou du pressoir? Et le roi lui dit: Qu'as-tu? Elle répondit: Cette femme-là m'a dit: Donne ton fils! nous le mangerons aujourd'hui, et demain nous mangerons mon fils. Nous avons fait cuire mon fils, et nous l'avons mangé. Et le jour suivant, je lui ai dit: Donne ton fils, et nous le mangerons. Mais elle a caché son fils. Lorsque le roi entendit les paroles de cette femme, il déchira ses vêtements, en passant sur la muraille; et le peuple vit qu'il avait en dedans un sac sur son corps. Le roi dit: Que Dieu me punisse dans toute sa rigueur, si la tête d'Elisée, fils de Schaphath, reste aujourd'hui sur lui!
2 Rois 6:24-31 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Quelque temps plus tard, Ben-Hadad, le roi de Syrie, mobilisa toute son armée et alla mettre le siège devant Samarie. Pendant que le siège de la ville se prolongeait, une grande famine y sévissait au point qu’une tête d’âne valait quatre-vingts pièces d’argent et une livre de pois chiches cinq pièces d’argent. Un jour, le roi d’Israël passait sur le rempart. Une femme lui cria : Viens à mon secours, mon seigneur le roi ! Il répondit : Si l’Eternel ne vient pas à ton secours, comment pourrais-je te secourir ? Je n’ai ni blé, ni vin à te donner. Pourtant le roi ajouta : Qu’est-ce qui t’arrive ? Elle répondit : Cette femme-là m’a proposé : « Donne ton fils ! Nous le mangerons aujourd’hui, et demain ce sera le tour du mien. » Nous avons donc fait cuire mon fils, et nous l’avons mangé. Mais le lendemain, quand je lui ai dit : « Donne ton fils pour que nous le mangions », elle l’a caché. Lorsque le roi entendit le récit de cette femme, il déchira ses vêtements. Lorsqu’il passa de nouveau sur le rempart, le peuple s’aperçut qu’il portait sous ses habits royaux un vêtement de toile grossière à même la peau. Il déclara : Que Dieu me punisse très sévèrement, si la tête d’Elisée, fils de Shaphath, reste encore aujourd’hui sur ses épaules.
2 Rois 6:24-31 Bible Segond 21 (S21)
Après cela, Ben-Hadad, le roi de Syrie, rassembla toute son armée, monta contre Samarie et l’assiégea. Il y eut une grande famine dans la ville. Le siège fut si long qu'une tête d'âne valait 80 pièces d'argent, et le quart de litre de crotte de pigeon 5 pièces d'argent. Alors que le roi passait sur la muraille, une femme lui cria: «Sauve-moi, mon seigneur le roi!» Il répondit: «Si l'Eternel ne te sauve pas, avec quoi pourrais-je te sauver? Avec les ressources de l'aire de battage ou du pressoir?» Et le roi ajouta: «Qu'as-tu?» Elle répondit: «Cette femme-là m'a dit: ‘Donne-moi ton fils! Nous le mangerons aujourd'hui, et demain c’est mon fils que nous mangerons.’ Nous avons fait cuire mon fils et nous l'avons mangé. Le lendemain, je lui ai dit: ‘Donne-moi ton fils pour que nous le mangions’, mais elle l’a caché.» Lorsque le roi entendit les paroles de cette femme, il déchira ses habits; comme il marchait sur la muraille, le peuple vit qu'il portait en dessous un sac à même la peau. Le roi dit: «Que Dieu me traite avec la plus grande sévérité si la tête d'Elisée, fils de Shaphath, reste aujourd'hui sur ses épaules!»
2 Rois 6:24-31 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Après cela, Ben-Hadad, roi de Syrie, ayant rassemblé toute son armée, monta et assiégea Samarie. Il y eut une grande famine dans Samarie; et ils la serrèrent tellement qu’une tête d’âne valait quatre-vingts sicles d’argent, et le quart d’un kab de fiente de pigeon cinq sicles d’argent. Et comme le roi passait sur la muraille, une femme lui cria: Sauve-moi, ô roi, mon seigneur! Il répondit: Si l’Éternel ne te sauve pas, avec quoi te sauverais-je? Avec le produit de l’aire ou du pressoir? Et le roi lui dit: Qu’as-tu? Elle répondit: Cette femme-là m’a dit: Donne ton fils! Nous le mangerons aujourd’hui, et demain nous mangerons mon fils. Nous avons fait cuire mon fils, et nous l’avons mangé. Et le jour suivant, je lui ai dit: Donne ton fils, et nous le mangerons. Mais elle a caché son fils. Lorsque le roi entendit les paroles de cette femme, il déchira ses vêtements, en passant sur la muraille; et le peuple vit qu’il avait en dedans un sac sur son corps. Le roi dit: Que Dieu me punisse dans toute sa rigueur, si la tête d’Élisée, fils de Schaphath, reste aujourd’hui sur lui!
2 Rois 6:24-31 Bible en français courant (BFC)
A une autre époque, le roi de Syrie, Ben-Hadad, rassembla toute son armée et alla assiéger Samarie. Alors il y eut une grande famine dans la ville: les assiégeants bloquaient si bien la ville, qu'une simple tête d'âne coûtait quatre-vingts pièces d'argent, et une livre de pois chiches cinq pièces d'argent. Un jour, le roi d'Israël passait sur la muraille; une femme lui cria: «Au secours, Majesté!» Mais le roi lui répondit: «Si le Seigneur ne te secourt pas, moi non plus je ne peux pas te secourir! Il n'y a plus de réserve, ni de blé, ni de vin.» Pourtant il ajouta: «Que veux-tu?» Elle répondit: «Tu vois cette femme! L'autre jour, elle a proposé que nous mangions mon fils, et que nous mangions le sien le lendemain. Nous avons donc cuit et mangé mon fils; mais le lendemain, quand je lui ai dit d'amener son fils pour que nous le mangions, elle l'a caché.» Quand le roi entendit la femme lui raconter cela, il déchira ses vêtements; il était alors sur la muraille, de sorte que tous les gens de la ville purent voir que, par-dessous, il portait une étoffe grossière directement sur la peau. Le roi s'écria: «Que Dieu m'inflige le plus terrible des malheurs si ce soir Élisée, fils de Chafath, a encore la tête sur les épaules.»