2 Rois 4:16-30
2 Rois 4:16-30 Bible J.N. Darby (JND)
Et il [lui] dit : À cette même époque, quand ton terme sera là, tu embrasseras un fils. Et elle dit : Non, mon seigneur, homme de DIEU, ne mens pas à ta servante ! Et la femme conçut, et enfanta un fils à cette même époque, quand son terme fut là, comme Élisée lui avait dit. Et l’enfant grandit : et il arriva qu’un jour il sortit vers son père, vers les moissonneurs ; et il dit à son père : Ma tête ! ma tête ! Et [le père] dit au serviteur : Porte-le à sa mère. Et il l’emporta, et l’amena à sa mère ; et il resta sur ses genoux jusqu’à midi, et mourut. Et elle monta, et le coucha sur le lit de l’homme de DIEU ; et elle ferma la porte sur lui, et sortit. Et elle appela son mari, et dit : Envoie-moi, je te prie, un des jeunes hommes, et une des ânesses, et je courrai jusqu’à l’homme de DIEU ; et je reviendrai. Et il dit : Pourquoi vas-tu vers lui aujourd’hui ? Ce n’est ni nouvelle lune ni sabbat. Et elle dit : Tout va bien. Et elle fit seller l’ânesse, et dit à son jeune homme : Mène-la, et marche ; ne m’arrête pas dans la course, à moins que je ne te le dise. Et elle s’en alla, et vint vers l’homme de DIEU, sur la montagne du Carmel. Et il arriva que, quand l’homme de DIEU la vit de loin, il dit à Guéhazi, son jeune homme : Voici cette Sunamite ! Cours maintenant, je te prie, à sa rencontre, et dis-lui : Tout va-t-il bien ? Ton mari va-t-il bien ? L’enfant va-t-il bien ? Et elle dit : Bien. Et elle vint vers l’homme de DIEU sur la montagne, et elle le saisit par les pieds ; et Guéhazi s’approcha pour la repousser ; et l’homme de DIEU dit : Laisse-la, car son âme est dans l’amertume, et l’ÉTERNEL me l’a caché et ne me l’a pas déclaré. Alors elle dit : Ai-je demandé un fils à mon seigneur ? N’ai-je pas dit : Ne me trompe pas ? Et il dit à Guéhazi : Ceins tes reins, et prends mon bâton en ta main, et va-t’en : si tu trouves quelqu’un, ne le salue pas, et si quelqu’un te salue, ne lui réponds pas, et tu mettras mon bâton sur le visage du jeune garçon. Et la mère du jeune garçon dit : L’ÉTERNEL est vivant, et ton âme est vivante, que je ne te laisserai point ! Et il se leva, et s’en alla après elle.
2 Rois 4:16-30 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Élisée lui dit : « L’an prochain, à la même époque, tu porteras un fils dans tes bras. » Mais elle dit : « Ce n’est pas possible ! Toi qui es un homme de Dieu, ne me mens pas. » Pourtant cette femme devient enceinte. Et à la même époque, l’année suivante, elle met au monde un fils, comme Élisée l’a annoncé. L’enfant grandit. Un jour, il va rejoindre son père au champ et travaille avec ceux qui font la récolte. L’enfant se met à crier : « Oh ! ma tête ! ma tête ! » Le père dit à un serviteur : « Porte-le vite à sa mère ! » Le serviteur porte l’enfant à sa mère. Jusqu’à midi, il reste sur les genoux de sa mère. À midi, il meurt. Alors elle monte dans la chambre d’Élisée. Elle couche l’enfant sur son lit et ferme la porte. Puis elle va au champ. Elle appelle son mari et lui dit : « Envoie-moi, s’il te plaît, un serviteur avec une ânesse. Je cours chez l’homme de Dieu et je reviens. » Son mari lui demande : « Pourquoi vas-tu chez lui aujourd’hui ? Ce n’est pas la fête de la nouvelle lune. Ce n’est même pas un jour de sabbat. » Elle répond : « Ne t’inquiète pas. » Elle prépare l’âne et dit au serviteur : « Partons ! Conduis l’ânesse. Ne t’arrête pas en route, sauf si je te le demande. » Elle part vers le mont Carmel pour aller chercher Élisée. Quand l’homme de Dieu la voit de loin, il dit à son serviteur Guéhazi : « Regarde, c’est la femme de Chounem ! Maintenant, cours donc à sa rencontre. Demande-lui : “Comment vas-tu ? Et ton mari ? Et ton fils, est-ce qu’ils vont bien ?” » La femme répond : « Tout va bien. » Mais quand elle arrive auprès d’Élisée sur la montagne, elle saisit ses pieds. Guéhazi veut la repousser, mais Élisée lui dit : « Laisse-la. Tu ne vois pas comme elle est bouleversée. Mais le SEIGNEUR ne m’a pas dit pourquoi, il ne m’a rien annoncé. » Alors la femme dit : « Est-ce moi qui t’ai demandé un fils ? Non ! Je t’ai même dit : “Ne me donne pas un faux espoir.” » Élisée dit à Guéhazi : « Prépare-toi à partir. Prends mon bâton de prophète et va à Chounem. Si tu rencontres quelqu’un, ne t’arrête pas pour le saluer. Si quelqu’un te salue, ne réponds pas. Tu mettras mon bâton sur le visage du garçon. » Mais la mère de l’enfant dit à Élisée : « Par le SEIGNEUR vivant et par ta vie, je ne partirai pas sans toi ! » Alors Élisée part avec elle.
2 Rois 4:16-30 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Elisée lui dit: A cette même époque, l'année prochaine, tu embrasseras un fils. Et elle dit: Non! mon seigneur, homme de Dieu, ne trompe pas ta servante! Cette femme devint enceinte, et elle enfanta un fils à la même époque, l'année suivante, comme Elisée le lui avait dit. L'enfant grandit. Et un jour qu'il était allé trouver son père vers les moissonneurs, il dit à son père: Ma tête! ma tête! Le père dit à son serviteur: Porte-le à sa mère. Le serviteur l'emporta et l'amena à sa mère. Et l'enfant resta sur les genoux de sa mère jusqu'à midi, puis il mourut. Elle monta, le coucha sur le lit de l'homme de Dieu, ferma la porte sur lui, et sortit. Elle appela son mari, et dit: Envoie-moi, je te prie, un des serviteurs et une des ânesses; je veux aller en hâte vers l'homme de Dieu, et je reviendrai. Et il dit: Pourquoi veux-tu aller aujourd'hui vers lui? Ce n'est ni nouvelle lune ni sabbat. Elle répondit: Tout va bien. Puis elle fit seller l'ânesse, et dit à son serviteur: Mène et pars; ne m'arrête pas en route sans que je te le dise. Elle partit donc et se rendit vers l'homme de Dieu sur la montagne du Carmel. L'homme de Dieu, l'ayant aperçue de loin, dit à Guéhazi, son serviteur: Voici cette Sunamite! Maintenant, cours donc à sa rencontre, et dis-lui: Te portes-tu bien? Ton mari et ton enfant se portent-ils bien? Elle répondit: Bien. Et dès qu'elle fut arrivée auprès de l'homme de Dieu sur la montagne, elle embrassa ses pieds. Guéhazi s'approcha pour la repousser. Mais l'homme de Dieu dit: Laisse-la, car son âme est dans l'amertume, et l'Eternel me l'a caché et ne me l'a point fait connaître. Alors elle dit: Ai-je demandé un fils à mon seigneur? N'ai-je pas dit: Ne me trompe pas? Et Elisée dit à Guéhazi: Ceins tes reins, prends mon bâton dans ta main, et pars. Si tu rencontres quelqu'un, ne le salue pas; et si quelqu'un te salue, ne lui réponds pas. Tu mettras mon bâton sur le visage de l'enfant. La mère de l'enfant dit: L'Eternel est vivant et ton âme est vivante! je ne te quitterai point. Et il se leva et la suivit.
2 Rois 4:16-30 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Elisée lui dit : L’an prochain, à la même époque, tu tiendras un fils dans tes bras ! Elle s’écria alors : Que mon seigneur, homme de Dieu, ne me donne pas de faux espoirs, moi qui suis sa servante ! Cependant, cette femme devint enceinte et, l’année suivante à la même époque, elle donna naissance à un fils, exactement comme Elisée le lui avait prédit. L’enfant grandit. Un jour qu’il était allé rejoindre son père auprès des moissonneurs, il cria soudain à son père : Oh, ma tête ! Que j’ai mal à la tête ! Le père ordonna à son serviteur : Emporte-le vite chez sa mère ! Le serviteur l’emporta et l’amena à sa mère, qui le prit sur ses genoux. Il y resta jusqu’à midi, puis il mourut. Elle monta dans la chambre du prophète, le coucha sur le lit de l’homme de Dieu, referma la porte sur lui et sortit. Puis elle appela son mari et lui dit : Donne-moi, je te prie, l’un des jeunes serviteurs et une ânesse ; je vais vite aller chez l’homme de Dieu et je reviens aussitôt. – Pourquoi veux-tu aller chez lui aujourd’hui ? lui demanda-t-il. Ce n’est ni la nouvelle lune ni un jour de sabbat. Elle lui répondit : Tout va bien. Puis elle fit seller l’ânesse et dit à son jeune serviteur : Conduis-moi rapidement ! Ne m’arrête pas en cours de route sans que je te l’ordonne ! Elle voyagea ainsi et parvint jusqu’au mont Carmel où habitait l’homme de Dieu. Quand celui-ci l’aperçut de loin, il dit à son serviteur Guéhazi : Regarde, c’est notre Sunamite. Cours vite à sa rencontre et demande-lui : « Tout va-t-il bien pour toi ? Ton mari est-il en bonne santé ? L’enfant va-t-il bien ? » Elle répondit : Tout va bien. Elle poursuivit jusqu’à l’homme de Dieu sur la montagne, elle se jeta à ses pieds. Guéhazi s’approcha pour l’écarter. Mais Elisée lui dit : Laisse-la faire ! Elle est profondément affligée, mais l’Eternel ne me l’a pas fait savoir et il ne m’en a pas révélé la cause. Alors la femme s’écria : Est-ce que j’ai demandé un fils à mon seigneur ? Ne t’avais-je pas dit : « Ne me donne pas de faux espoirs » ? Elisée ordonna à Guéhazi : Mets ta ceinture ! Prends mon bâton en main et va. Si tu rencontres quelqu’un en chemin, ne perds pas de temps à le saluer, et si quelqu’un te salue, ne t’arrête pas pour lui répondre. Quand tu arriveras dans la maison de cette femme, tu poseras mon bâton sur le visage du garçon. La mère de l’enfant s’écria : Aussi vrai que l’Eternel est vivant et que tu es toi-même en vie, je ne partirai pas sans toi ! Alors Elisée se leva et se mit en route avec elle.
2 Rois 4:16-30 Bible Segond 21 (S21)
Elisée lui dit: «A la même époque, l'année prochaine, tu embrasseras un fils.» Elle répondit: «Non, mon seigneur, homme de Dieu, ne trompe pas ta servante!» Cette femme devint enceinte et elle mit au monde un fils à la même époque, l'année suivante, comme Elisée le lui avait dit. L'enfant grandit. Un jour qu'il était allé trouver son père vers les moissonneurs, il lui dit: «Ma tête! Ma tête!» Le père dit à son serviteur: «Amène-le à sa mère.» Le serviteur l'emporta et l'amena à sa mère. L'enfant resta sur ses genoux jusqu'à midi, puis il mourut. Elle monta le coucher sur le lit de l'homme de Dieu, ferma la porte derrière lui et sortit. Elle appela son mari et dit: «Envoie-moi un des serviteurs et une ânesse; je veux vite aller vers l'homme de Dieu et revenir.» Il demanda: «Pourquoi veux-tu aller aujourd'hui vers lui? Ce n'est ni le début du mois ni le sabbat.» Elle répondit: «Tout va bien.» Puis elle fit seller l'ânesse et dit à son serviteur: «Conduis-moi et avance! Ne m'arrête pas en route sans que je te le dise.» Elle partit donc et se rendit vers l'homme de Dieu au mont Carmel. L'homme de Dieu l'aperçut de loin et dit à son serviteur Guéhazi: «Voici notre Sunamite! Cours donc à sa rencontre et demande-lui: ‘Vas-tu bien? Ton mari et ton enfant vont-ils bien?’» Elle répondit: «Bien», mais dès qu'elle fut arrivée près de l'homme de Dieu sur la montagne, elle lui attrapa les pieds. Quand Guéhazi s'approcha pour la repousser, l'homme de Dieu dit: «Laisse-la, car elle est dans l'amertume, et l'Eternel me l'avait caché, il ne me l'a pas révélé.» La femme dit alors: «Ai-je demandé un fils à mon seigneur? Ne t'ai-je pas dit de ne pas me tromper?» Elisée dit à Guéhazi: «Noue ta ceinture, prends mon bâton à la main et pars. Si tu rencontres quelqu'un, ne le salue pas et, si quelqu'un te salue, ne lui réponds pas. Tu mettras mon bâton sur le visage de l'enfant.» La mère de l'enfant dit: «L'Eternel est vivant et ton âme est vivante! Je ne te quitterai pas.» Elisée se leva et la suivit.
2 Rois 4:16-30 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Élisée lui dit: A cette même époque, l’année prochaine, tu embrasseras un fils. Et elle dit: Non! Mon seigneur, homme de Dieu, ne trompe pas ta servante! Cette femme devint enceinte, et elle enfanta un fils à la même époque, l’année suivante, comme Élisée lui avait dit. L’enfant grandit. Et un jour qu’il était allé trouver son père vers les moissonneurs, il dit à son père: Ma tête! Ma tête! Le père dit à son serviteur: Porte-le à sa mère. Le serviteur l’emporta et l’amena à sa mère. Et l’enfant resta sur les genoux de sa mère jusqu’à midi, puis il mourut. Elle monta, le coucha sur le lit de l’homme de Dieu, ferma la porte sur lui, et sortit. Elle appela son mari, et dit: Envoie-moi, je te prie, un des serviteurs et une des ânesses; je veux aller en hâte vers l’homme de Dieu, et je reviendrai. Et il dit: Pourquoi veux-tu aller aujourd’hui vers lui? Ce n’est ni nouvelle lune ni sabbat. Elle répondit: Tout va bien. Puis elle fit seller l’ânesse, et dit à son serviteur: Mène et pars; ne m’arrête pas en route sans que je te le dise. Elle partit donc et se rendit vers l’homme de Dieu sur la montagne du Carmel. L’homme de Dieu, l’ayant aperçue de loin, dit à Guéhazi, son serviteur: Voici cette Sunamite! Maintenant, cours donc à sa rencontre, et dis-lui: Te portes-tu bien? Ton mari et ton enfant se portent-ils bien? Elle répondit: Bien. Et dès qu’elle fut arrivée auprès de l’homme de Dieu sur la montagne, elle embrassa ses pieds. Guéhazi s’approcha pour la repousser. Mais l’homme de Dieu dit: Laisse-la, car son âme est dans l’amertume, et l’Éternel me l’a caché et ne me l’a point fait connaître. Alors elle dit: Ai-je demandé un fils à mon seigneur? N’ai-je pas dit: Ne me trompe pas? Et Élisée dit à Guéhazi: Ceins tes reins, prends mon bâton dans ta main, et pars. Si tu rencontres quelqu’un, ne le salue pas; et si quelqu’un te salue, ne lui réponds pas. Tu mettras mon bâton sur le visage de l’enfant. La mère de l’enfant dit: L’Éternel est vivant et ton âme est vivante! Je ne te quitterai point. Et il se leva et la suivit.
2 Rois 4:16-30 Bible en français courant (BFC)
Élisée lui déclara: «L'an prochain, à la même époque, tu tiendras un fils dans tes bras.» Mais elle s'écria: «C'est impossible! Toi qui es prophète de Dieu, ne me dis pas un mensonge!» Cependant cette femme devint enceinte, et à la même époque, l'année suivante, elle mit au monde un fils, conformément à ce qu'Élisée lui avait annoncé. L'enfant grandit. Un jour, il alla trouver son père qui travaillait avec les moissonneurs. Soudain il s'écria: «Papa! Oh, ma tête! J'ai mal à la tête!» Le père dit à un serviteur: «Porte-le vite à sa mère.» Le serviteur apporta l'enfant à sa mère. Celle-ci le prit sur ses genoux, mais vers midi il mourut. Alors elle monta dans la chambre d'Élisée, coucha l'enfant sur le lit, puis ferma la porte. Elle se rendit aux champs, appela son mari et lui dit: «Envoie-moi un serviteur avec une ânesse; je me rends vite chez le prophète de Dieu et je reviens.» Son mari lui demanda: «Pourquoi vas-tu chez lui aujourd'hui? Ce n'est pas la fête de la nouvelle lune, même pas un jour de sabbat.» – «Ne t'inquiète pas!» répondit-elle. Elle sella l'ânesse et dit au serviteur: «Allons-y, conduis l'ânesse; tu ne m'arrêteras que si je te l'ordonne.» Elle partit donc en direction du mont Carmel, pour aller trouver Élisée. Lorsque ce dernier la vit de loin, il dit à son serviteur Guéhazi: «Regarde, c'est la femme qui me reçoit à Chounem. Cours donc jusque vers elle et demande-lui si tout va bien pour elle-même, pour son mari et pour leur enfant.» La femme répondit à Guéhazi que tout allait bien. Cependant, quand elle arriva près d'Élisée sur la montagne, elle se jeta à ses pieds; Guéhazi voulut la repousser, mais Élisée lui dit: «Laisse-la tranquille! Elle est remplie d'une tristesse dont j'ignore la cause, car Dieu ne me l'a pas fait connaître.» Au même instant, la femme s'écria: «Est-ce moi qui t'avais demandé un fils? Non! Je t'avais même dit: “Ne me donne pas un faux espoir.” » Élisée dit à Guéhazi: «Es-tu prêt à partir? Prends mon bâton de prophète et va à Chounem. Si tu rencontres quelqu'un en chemin, ne t'arrête pas pour le saluer; et si quelqu'un veut te saluer, ne perds pas de temps à lui répondre. Là-bas, tu poseras mon bâton sur le visage de l'enfant.» Mais la mère de l'enfant dit à Élisée: «Par le Seigneur vivant, et par ta propre vie, je ne m'en irai pas sans toi.» Alors Élisée partit avec elle.