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2 Corinthiens 3:3-18

2 Corinthiens 3:3-18 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Il est évident que vous êtes une lettre que Christ a confiée à notre ministère et qu’il nous a fait écrire, non avec de l’encre, mais par l’Esprit du Dieu vivant, non sur des tablettes de pierre, mais sur des tablettes de chair : sur votre cœur. Telle est l’assurance que nous avons par Christ, devant Dieu. Cela ne veut pas dire que nous puissions nous considérer par nous-mêmes à la hauteur d’une telle tâche  ; au contraire, notre capacité vient de Dieu. C’est lui qui nous a rendus capables d’être les serviteurs d’une nouvelle alliance qui ne dépend pas de la Loi, avec ses commandements écrits, mais de l’Esprit. Car la Loi, avec ses commandements écrits, inflige la mort. L’Esprit, lui, communique la vie. Le ministère de Moïse, au service de la Loi, dont les lettres ont été gravées sur des pierres, a conduit à la mort. Cependant, ce ministère a été glorieux, au point que les Israélites n’ont pas pu regarder Moïse en face, à cause de la gloire, pourtant passagère, dont rayonnait son visage. Mais alors, le ministère au service de l’Esprit ne sera-t-il pas bien plus glorieux encore ? En effet, si le ministère qui a entraîné la condamnation des hommes a été glorieux, combien plus glorieux est celui qui conduit les hommes à être déclarés justes par Dieu ! On peut même dire que cette gloire du passé perd tout son éclat quand on la compare à la gloire présente qui lui est bien supérieure. Car si ce qui est passager a été touché par la gloire, combien plus grande sera la gloire de ce qui demeure éternellement ! Cette espérance nous remplit d’assurance. Nous ne faisons pas comme Moïse qui « couvrait son visage d’un voile » pour empêcher les Israélites de voir la réalité vers laquelle tendait ce qui était passager. Mais leur esprit est devenu incapable de comprendre : aujourd’hui encore, lorsqu’ils lisent le Livre de l’Ancienne Alliance, ce même voile demeure ; il ne leur est pas ôté, car c’est dans l’union avec Christ qu’il est levé. Aussi, jusqu’à ce jour, toutes les fois que les Israélites lisent les écrits de Moïse, un voile leur couvre l’esprit. Mais, comme le dit l’Ecriture : Lorsque Moïse se tournait vers le Seigneur, il ôtait le voile . Le Seigneur dont parle le texte, c’est l’Esprit, et là où est l’Esprit du Seigneur, là règne la liberté. Et nous tous qui, le visage découvert, contemplons, comme dans un miroir, la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en son image dans une gloire dont l’éclat ne cesse de grandir. C’est là l’œuvre du Seigneur, c’est-à-dire de l’Esprit.

2 Corinthiens 3:3-18 Bible Segond 21 (S21)

Il est clair que vous êtes une lettre de Christ écrite par notre ministère, non avec de l'encre mais avec l'Esprit du Dieu vivant, non sur des tables de pierre mais sur des tables de chair, sur les cœurs. Telle est l'assurance que nous avons par Christ auprès de Dieu. Je ne dis pas que nous soyons capables, par nous-mêmes, de concevoir quelque chose comme si cela venait de nous. Notre capacité, au contraire, vient de Dieu. Il nous a aussi rendus capables d'être serviteurs d'une nouvelle alliance, non de la lettre, mais de l'Esprit; car la lettre tue, mais l'Esprit fait vivre. Or, si le ministère de la mort, gravé avec des lettres sur des pierres, a été glorieux au point que les Israélites ne pouvaient pas fixer les regards sur le visage de Moïse à cause de la gloire dont il rayonnait et qui, pourtant, était passagère, combien le ministère de l'Esprit sera plus glorieux! En effet, si le ministère de la condamnation a été glorieux, le ministère de la justice est bien plus glorieux encore. Et même, de ce point de vue, ce qui était glorieux a perdu son éclat à cause de la gloire qui lui est supérieure. En effet, si ce qui était passager a été marqué par la gloire, ce qui est permanent sera bien plus glorieux. Puisque nous avons une telle espérance, nous faisons preuve d’une grande assurance. Nous ne faisons pas comme Moïse, qui mettait un voile sur son visage pour que les Israélites ne fixent pas les regards sur la fin d’une réalité passagère. Mais leur intelligence s'est obscurcie. Jusqu'à aujourd’hui en effet, le même voile reste lorsqu’ils font la lecture de l'Ancien Testament, et il ne se lève pas parce que c'est en Christ qu'il disparaît. Jusqu'à aujourd’hui, quand les écrits de Moïse sont lus, un voile recouvre leur cœur; mais lorsque quelqu'un se convertit au Seigneur, le voile est enlevé. Or le Seigneur, c'est l'Esprit, et là où est l'Esprit du Seigneur, là est la liberté. Nous tous qui, sans voile sur le visage, contemplons comme dans un miroir la gloire du Seigneur, nous sommes transformés à son image, de gloire en gloire, par l'Esprit du Seigneur.

2 Corinthiens 3:3-18 Bible J.N. Darby (JND)

car vous êtes manifestés comme étant la lettre de Christ, dressée par notre ministère, écrite non avec de l’encre, mais par l’Esprit du DIEU vivant, non sur des tables de pierre, mais sur les tables de chair du cœur. Or nous avons une telle confiance par le Christ envers DIEU  : non que nous soyons capables par nous-mêmes de penser quelque chose comme de nous-mêmes, mais notre capacité vient de DIEU, qui nous a rendus propres aussi pour être des ministres de la nouvelle alliance, non de la lettre, mais de l’esprit, car la lettre tue, mais l’Esprit vivifie. (Or si le ministère de la mort, gravé en lettres sur des pierres, a été introduit avec gloire, de sorte que les fils d’Israël ne pouvaient arrêter leurs yeux sur la face de Moïse, à cause de la gloire de sa face, laquelle devait prendre fin, combien plus le ministère de l’Esprit ne subsistera-t-il pas en gloire ! Car si le ministère de la condamnation a été gloire, combien plus le ministère de la justice abonde-t-il en gloire ! Car aussi ce qui a été glorifié n’a pas été glorifié sous ce rapport, à cause de la gloire qui l’emporte de beaucoup. Car si ce qui devait prendre fin [a été introduit] avec gloire, bien plus ce qui demeure [subsistera-t-il] en gloire ! Ayant donc une telle espérance, nous usons d’une grande liberté ; et [nous ne faisons] pas comme Moïse qui mettait un voile sur sa face, pour que les fils d’Israël n’arrêtent pas leurs yeux sur la consommation de ce qui devait prendre fin. Mais leurs entendements ont été endurcis, car jusqu’à aujourd’hui, dans la lecture de l’ancienne alliance, ce même voile demeure sans être levé, lequel prend fin en Christ. Mais jusqu’à aujourd’hui, lorsque Moïse est lu, le voile demeure sur leur cœur ; mais quand il se tournera vers le Seigneur, le voile sera ôté.) Or le Seigneur est l’esprit  ; mais là où est l’Esprit du Seigneur, il y a la liberté. Or nous tous, contemplant à face découverte la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en la même image, de gloire en gloire, comme par le Seigneur en Esprit.

2 Corinthiens 3:3-18 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Oui, c’est clair, le Christ lui-même a écrit cette lettre, et c’est nous qui l’avons apportée. Elle n’est pas écrite avec de l’encre, mais avec l’Esprit du Dieu vivant. Elle n’est pas gravée dans la pierre , mais elle est gravée dans des cœurs humains. Devant Dieu, nous sommes sûrs de cela, à cause du Christ. Nous ne pensons pas que nous sommes capables de faire quelque chose tout seuls, mais c’est Dieu qui nous a rendus capables de faire ce que nous faisons. C’est lui qui nous a rendus capables d’être les serviteurs d’une alliance nouvelle. Cette alliance ne dépend pas de la loi écrite, mais de l’Esprit Saint. La loi écrite donne la mort, mais l’Esprit Saint donne la vie. Les paroles de cette loi étaient gravées dans la pierre, et Moïse était au service de cette loi qui donne la mort. Malgré cela, ce service lui donnait une grande gloire. Et à cause de la gloire qui brillait sur son visage, les Israélites ne pouvaient pas le regarder . Pourtant, cette gloire ne durait pas. Mais le service de l’Esprit Saint donnera une gloire encore plus grande. Le service de la loi qui condamne à mort était déjà plein de gloire. Alors le service de l’Esprit qui rend juste donnera encore beaucoup plus de gloire. Ainsi, devant cette gloire extraordinaire, la gloire qui a brillé autrefois n’est plus rien. Les choses qui ne durent pas étaient pleines de gloire. Alors les choses qui durent seront encore beaucoup plus glorieuses. Avec cette espérance, nous sommes pleins de confiance. Nous ne faisons pas comme Moïse qui mettait un voile sur son visage. De cette façon, les Israélites ne pouvaient pas voir la fin d’une gloire qui ne durait pas. Mais leur intelligence s’est fermée, et jusqu’à aujourd’hui, quand ils lisent les livres de l’ancienne alliance , le même voile est encore là. Non, il n’est pas enlevé, sauf pour celui qui est uni au Christ. En effet, jusqu’à aujourd’hui, chaque fois que les Israélites lisent les livres de Moïse, un voile couvre leur cœur. Mais chaque fois que les gens se tournent vers le Seigneur, le voile tombe . Le Seigneur ici, c’est l’Esprit Saint. Et quand l’Esprit du Seigneur est présent, la liberté est là. Notre visage à nous tous est sans voile, et la gloire du Seigneur se reflète sur nous, comme dans un miroir. Alors le Seigneur, qui est l’Esprit, nous transforme. Il nous rend semblables à lui, avec une gloire toujours plus grande.

2 Corinthiens 3:3-18 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)

Vous êtes manifestement une lettre de Christ, écrite par notre ministère, non avec de l'encre, mais avec l'Esprit du Dieu vivant, non sur des tables de pierre, mais sur des tables de chair, sur les cœurs. Cette assurance-là, nous l'avons par Christ auprès de Dieu. Ce n'est pas à dire que nous soyons par nous-mêmes capables de concevoir quelque chose comme venant de nous-mêmes. Notre capacité, au contraire, vient de Dieu. Il nous a aussi rendus capables d'être ministres d'une nouvelle alliance, non de la lettre, mais de l'Esprit; car la lettre tue, mais l'Esprit vivifie. Or, si le ministère de la mort, gravé avec des lettres sur des pierres, a été glorieux, au point que les fils d'Israël ne pouvaient fixer les regards sur le visage de Moïse, à cause de la gloire de son visage, bien que cette gloire ait été passagère, combien le ministère de l'Esprit ne sera-t-il pas plus glorieux! Si le ministère de la condamnation a été glorieux, le ministère de la justice est de beaucoup supérieur en gloire. Et, sous ce rapport, ce qui a été glorieux ne l'a point été, à cause de cette gloire qui lui est supérieure. En effet, si ce qui était passager a été glorieux, ce qui est permanent est bien plus glorieux. Ayant donc cette espérance, nous usons d'une grande liberté, et nous ne faisons pas comme Moïse, qui mettait un voile sur son visage, pour que les fils d'Israël ne fixent pas les regards sur la fin de ce qui était passager. Mais ils sont devenus durs d'entendement. Car jusqu'à ce jour, le même voile demeure quand ils font la lecture de l'Ancien Testament, et il ne se lève pas, parce que c'est en Christ qu'il disparaît. Jusqu'à ce jour, quand on lit Moïse, un voile est jeté sur leur cœur; mais lorsque les cœurs se convertissent au Seigneur, le voile est ôté. Or, le Seigneur, c'est l'Esprit; et là où est l'Esprit du Seigneur, là est la liberté. Nous tous dont le visage découvert reflète la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en la même image, de gloire en gloire, par l'Esprit du Seigneur.

2 Corinthiens 3:3-18 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)

Vous êtes manifestement une lettre de Christ, écrite, par notre ministère, non avec de l’encre, mais avec l’Esprit du Dieu vivant, non sur des tables de pierre, mais sur des tables de chair, sur les cœurs. Cette assurance-là, nous l’avons par Christ auprès de Dieu. Ce n’est pas à dire que nous soyons par nous-mêmes capables de concevoir quelque chose comme venant de nous-mêmes. Notre capacité, au contraire, vient de Dieu. Il nous a aussi rendus capables d’être ministres d’une nouvelle alliance, non de la lettre, mais de l’esprit; car la lettre tue, mais l’esprit vivifie. Or, si le ministère de la mort, gravé avec des lettres sur des pierres, a été glorieux, au point que les fils d’Israël ne pouvaient fixer les regards sur le visage de Moïse, à cause de la gloire de son visage, bien que cette gloire fût passagère, combien le ministère de l’esprit ne sera-t-il pas plus glorieux! Si le ministère de la condamnation a été glorieux, le ministère de la justice est de beaucoup supérieur en gloire. Et, sous ce rapport, ce qui a été glorieux ne l’a point été, à cause de cette gloire qui lui est supérieure. En effet, si ce qui était passager a été glorieux, ce qui est permanent est bien plus glorieux. Ayant donc cette espérance, nous usons d’une grande liberté, et nous ne faisons pas comme Moïse, qui mettait un voile sur son visage, pour que les fils d’Israël ne fixassent pas les regards sur la fin de ce qui était passager. Mais ils sont devenus durs d’entendement. Car jusqu’à ce jour le même voile demeure quand, ils font la lecture de l’Ancien Testament, et il ne se lève pas, parce que c’est en Christ qu’il disparaît. Jusqu’à ce jour, quand on lit Moïse, un voile est jeté sur leurs cœurs; mais lorsque les cœurs se convertissent au Seigneur, le voile est ôté. Or, le Seigneur c’est l’Esprit; et là où est l’Esprit du Seigneur, là est la liberté. Nous tous qui, le visage découvert, contemplons comme dans un miroir la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en la même image, de gloire en gloire, comme par le Seigneur, l’Esprit.

2 Corinthiens 3:3-18 Bible en français courant (BFC)

Oui, il est clair que vous êtes une lettre écrite par le Christ et transmise par nous. Elle est écrite non pas avec de l'encre, mais avec l'Esprit du Dieu vivant; elle est gravée non pas sur des tablettes de pierre, mais dans des cœurs humains. Nous parlons ainsi en raison de la confiance que nous avons en Dieu par le Christ. En effet, nous ne saurions prétendre accomplir une telle tâche grâce à notre capacité personnelle. Ce que nous sommes capables de faire vient de Dieu; c'est lui qui nous a rendus capables d'être serviteurs de la nouvelle alliance, qui ne dépend pas d'une loi écrite mais de l'Esprit Saint. La loi écrite mène à la mort, mais l'Esprit mène à la vie. La loi a été gravée lettre par lettre sur des tablettes de pierre et la gloire de Dieu a resplendi à ce moment-là. Le visage de Moïse brillait d'un tel éclat que les Israélites ne pouvaient pas fixer leurs regards sur lui, et pourtant cet éclat était passager. Si la loi, dont la fonction avait pour effet de mener à la mort, est apparue avec une telle gloire, combien plus glorieuse doit être la fonction exercée par l'Esprit! La fonction qui entraînait la condamnation des hommes était glorieuse; combien plus glorieuse est la fonction qui a pour effet de rendre les hommes justes devant Dieu! Nous pouvons même dire que la gloire qui brilla dans le passé s'efface devant la gloire actuelle, tellement supérieure. En effet, si ce qui était passager a été glorieux, combien plus le sera ce qui demeure pour toujours! C'est parce que nous avons une telle espérance que nous sommes pleins d'assurance. Nous ne faisons pas comme Moïse qui se couvrait le visage d'un voile pour empêcher les Israélites d'en voir disparaître l'éclat passager. Mais leur intelligence s'était obscurcie; et jusqu'à ce jour, elle est recouverte du même voile quand ils lisent les livres de l'ancienne alliance. Ce voile ne disparaît qu'à la lumière du Christ. Aujourd'hui encore, chaque fois qu'ils lisent les livres de Moïse, un voile recouvre leur intelligence. Mais, comme il est écrit: «Lorsqu'on se tourne vers le Seigneur, le voile est enlevé.» Or, le mot Seigneur signifie ici l'Esprit; et là où l'Esprit du Seigneur est présent, là est la liberté. Nous tous, le visage découvert, nous reflétons la gloire du Seigneur; ainsi, nous sommes transformés pour être semblables au Seigneur et nous passons d'une gloire à une gloire plus grande encore. Voilà en effet ce que réalise le Seigneur, qui est l'Esprit.