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2 Corinthiens 2:1-13

2 Corinthiens 2:1-13 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Voici ce que j’ai décidé : je ne reviendrai pas chez vous, si cela doit vous rendre tristes. Si moi, je vous rends tristes, qui peut encore me donner de la joie ? Est-ce que ce n’est pas justement celui que j’ai rendu triste ? À mon arrivée chez vous, certains risquaient de me rendre triste. Pourtant, c’est eux qui devaient me donner de la joie. C’est la raison pour laquelle je vous ai écrit . J’en suis sûr : quand je suis joyeux, vous pouvez être joyeux, vous aussi. Oui, je vous ai écrit en pleurant beaucoup, j’avais le cœur plein de tristesse et d’inquiétude. Pourtant, je n’ai pas écrit pour vous rendre tristes, je l’ai fait pour vous montrer l’amour très grand que j’ai pour vous. Si quelqu’un a causé de la tristesse, ce n’est pas à moi. C’est plutôt à vous tous qu’il en a causé. Mais il ne faut pas exagérer l’affaire. Pour cet homme-là, les reproches de la communauté suffisent. C’est pourquoi, maintenant, vous devez plutôt lui pardonner et l’encourager, sinon, une tristesse trop grande risque de le décourager complètement. Alors je vous le demande, montrez-lui que vous l’aimez. En effet, voici pourquoi je vous ai écrit : je voulais voir si vous étiez prêts à obéir en toutes choses. Quand vous pardonnez à quelqu’un, moi aussi, je lui pardonne. Quand je pardonne, si toutefois j’ai quelque chose à pardonner, je pardonne à cause de vous en présence du Christ. De cette façon, Satan ne nous trompe pas. Oui, nous connaissons bien ses intentions. Je suis arrivé à Troas pour annoncer la Bonne Nouvelle du Christ, car le Seigneur me donnait l’occasion de pouvoir travailler là. Pourtant, j’étais très inquiet, parce que je n’avais pas trouvé Tite, mon frère. C’est pourquoi j’ai dit au revoir aux gens de Troas et je suis parti pour la Macédoine.

2 Corinthiens 2:1-13 Bible J.N. Darby (JND)

Mais j’ai jugé ceci en moi-même, de ne pas retourner auprès de vous avec de la tristesse. Car si moi je vous attriste, qui est-ce donc qui me réjouit, sinon celui qui est attristé par moi ? Et j’ai écrit ceci même, afin que, quand j’arriverai, je n’aie pas de tristesse de la part de ceux de qui je devais me réjouir, ayant cette confiance à l’égard de vous tous, que ma joie est celle de vous tous ; car je vous ai écrit dans une grande affliction et avec serrement de cœur, avec beaucoup de larmes, non afin que vous soyez attristés, mais afin que vous connaissiez l’amour que j’ai si abondamment pour vous. Mais si quelqu’un a causé de la tristesse, ce n’est pas moi qu’il a attristé, mais, en quelque sorte (afin que je ne vous surcharge pas), c’est vous tous. Il suffit, pour un tel homme, de cette punition [qui lui a été infligée] par le grand nombre, de sorte qu’au contraire vous devriez plutôt pardonner et consoler, de peur qu’un tel homme ne soit accablé par une tristesse excessive. C’est pourquoi je vous exhorte à ratifier envers lui votre amour. Car c’est aussi pour cela que je vous ai écrit, afin que je connaisse, à l’épreuve, si vous êtes obéissants en toutes choses. Or à celui à qui vous pardonnez quelque chose, moi aussi [je pardonne] ; car moi aussi, ce que j’ai pardonné, si j’ai pardonné quelque chose, [je l’ai fait] à cause de vous dans la personne de Christ ; afin que nous ne soyons pas circonvenus par Satan, car nous n’ignorons pas ses desseins. Or, étant arrivé dans la Troade pour l’évangile du Christ, et une porte m’y étant ouverte dans le Seigneur, je n’ai point eu de repos dans mon esprit, parce que je n’ai pas trouvé Tite, mon frère ; mais, ayant pris congé d’eux, je suis parti pour la Macédoine.

2 Corinthiens 2:1-13 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)

Je résolus donc en moi-même de ne pas retourner chez vous dans la tristesse. Car si je vous attriste, qui peut me réjouir, sinon celui qui est attristé par moi? J'ai écrit comme je l'ai fait pour ne pas éprouver, à mon arrivée, de la tristesse de la part de ceux qui devaient me donner de la joie, ayant en vous tous cette confiance que ma joie est la vôtre à tous. C'est dans une grande affliction, le cœur angoissé, et avec beaucoup de larmes, que je vous ai écrit, non pas afin que vous soyez attristés, mais afin que vous connaissiez l'amour extrême que j'ai pour vous. Si quelqu'un a été une cause de tristesse, ce n'est pas moi qu'il a attristé, c'est vous tous, du moins en partie, pour ne rien exagérer. Il suffit pour cet homme du châtiment qui lui a été infligé par le plus grand nombre, en sorte que vous devez bien plutôt lui pardonner et le consoler, de peur qu'il ne soit accablé par une tristesse excessive. Je vous exhorte donc à faire acte de charité envers lui; car je vous ai écrit aussi dans le but de connaître, en vous mettant à l'épreuve, si vous êtes obéissants en toutes choses. Or, à qui vous pardonnez, je pardonne aussi; et ce que j'ai pardonné, si j'ai pardonné quelque chose, c'est à cause de vous, en présence de Christ, afin de ne pas laisser à Satan l'avantage sur nous, car nous n'ignorons pas ses desseins. Au reste, lorsque je fus arrivé à Troas pour l'Evangile de Christ, quoique le Seigneur m'y ait ouvert une porte, je n'eus point de repos d'esprit, parce que je ne trouvai pas Tite, mon frère; c'est pourquoi, ayant pris congé d'eux, je partis pour la Macédoine.

2 Corinthiens 2:1-13 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

C’est pourquoi j’ai décidé de ne pas retourner chez vous pour ne pas vous attrister. Car si je vous plonge dans la tristesse, qui pourra encore réjouir mon cœur si ce n’est ceux que j’aurais moi-même attristés  ? Si je vous ai écrit comme je l’ai fait dans ma précédente lettre, c’était précisément pour qu’en venant chez vous je ne sois pas attristé par ceux-là mêmes qui devaient faire ma joie. J’ai, en effet, la conviction en ce qui vous concerne que ce qui fait ma joie fait aussi la vôtre à vous tous. Aussi est-ce dans une profonde détresse, le cœur serré et avec bien des larmes que je vous ai écrit cette lettre, non pour vous attrister, mais pour que vous sachiez combien je vous aime. Si l’un de vous a été une cause de tristesse, ce n’est pas moi qu’il a attristé, mais vous tous, ou du moins une partie d’entre vous, pour ne rien exagérer. Le blâme que lui a infligé la majorité d’entre vous est suffisant pour cet homme. Aussi devriez-vous à présent lui accorder votre pardon et le réconforter, afin qu’il ne soit pas accablé par une tristesse excessive. Je vous engage donc à lui témoigner de l’amour. Car je vous ai aussi écrit pour vous mettre à l’épreuve et voir si vous obéissez en toutes choses. Celui à qui vous accordez le pardon, je lui pardonne moi aussi. Et si j’ai pardonné – pour autant que j’aie eu quelque chose à pardonner – je l’ai fait à cause de vous, devant Christ, pour ne pas laisser Satan prendre l’avantage sur nous : nous ne connaissons en effet que trop bien ses intentions. Je suis allé à Troas pour y annoncer l’Evangile de Christ. J’y ai trouvé, grâce au Seigneur, des portes largement ouvertes à mon activité. Cependant, je n’ai pas eu l’esprit tranquille parce que je n’y avais pas retrouvé mon frère Tite. C’est pourquoi j’ai pris congé des croyants et je suis parti pour la Macédoine.

2 Corinthiens 2:1-13 Bible Segond 21 (S21)

J'ai donc décidé en moi-même de ne pas retourner chez vous dans la tristesse. En effet, si je vous attriste, qui peut me réjouir, sinon celui que j'ai attristé? J'ai écrit comme je l'ai fait pour ne pas être attristé, à mon arrivée, par ceux qui devaient me donner de la joie; car en ce qui vous concerne, je suis convaincu que ma joie est aussi la vôtre, à vous tous. C'est dans une grande souffrance, le cœur angoissé et avec beaucoup de larmes que je vous ai écrit, non pas afin de vous attrister, mais afin que vous sachiez quel amour débordant j'ai pour vous. Si quelqu'un a été une cause de tristesse, ce n'est pas moi qu'il a attristé, c'est vous tous, du moins dans une certaine mesure, pour ne rien exagérer. Le blâme qui lui a été infligé par la majorité d’entre vous est suffisant pour cet homme. Maintenant, au contraire, vous devez plutôt lui pardonner et l'encourager, de peur qu'il ne soit accablé par une tristesse excessive. Je vous engage donc à faire preuve d'amour envers lui, car je vous ai aussi écrit dans le but de savoir, en vous mettant à l'épreuve, si vous êtes obéissants à tout point de vue. Or à qui vous pardonnez, je pardonne aussi; et si j'ai pardonné quelque chose à quelqu’un, je l'ai fait à cause de vous, en présence de Christ, afin de ne pas laisser à Satan l'avantage sur nous, car nous n'ignorons pas ses intentions. Quand je suis arrivé à Troas pour annoncer l'Evangile de Christ, bien que le Seigneur m'y ait ouvert une porte, je n'avais pas l'esprit en repos parce que je n'avais pas trouvé mon frère Tite. C'est pourquoi j'ai pris congé d'eux et je suis parti pour la Macédoine.

2 Corinthiens 2:1-13 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)

Je résolus donc en moi-même de ne pas retourner chez vous dans la tristesse. Car si je vous attriste, qui peut me réjouir, sinon celui qui est attristé par moi? J’ai écrit comme je l’ai fait pour ne pas éprouver, à mon arrivée, de la tristesse de la part de ceux qui devaient me donner de la joie, ayant en vous tous cette confiance que ma joie est la vôtre à tous. C’est dans une grande affliction, le cœur angoissé, et avec beaucoup de larmes, que je vous ai écrit, non pas afin que vous fussiez attristés, mais afin que vous connussiez l’amour extrême que j’ai pour vous. Si quelqu’un a été une cause de tristesse, ce n’est pas moi qu’il a attristé, c’est vous tous, du moins en partie, pour ne rien exagérer. Il suffit pour cet homme du châtiment qui lui a été infligé par le plus grand nombre, en sorte que vous devez bien plutôt lui pardonner et le consoler, de peur qu’il ne soit accablé par une tristesse excessive. Je vous exhorte donc à faire acte de charité envers lui; car je vous ai écrit aussi dans le but de connaître, en vous mettant à l’épreuve, si vous êtes obéissants en toutes choses. Or, à qui vous pardonnez, je pardonne aussi; et ce que j’ai pardonné, si j’ai pardonné quelque chose, c’est à cause de vous, en présence de Christ, afin de ne pas laisser à Satan l’avantage sur nous, car nous n’ignorons pas ses desseins. Au reste, lorsque je fus arrivé à Troas pour l’Évangile de Christ, quoique le Seigneur m’y eût ouvert une porte, je n’eus point de repos d’esprit, parce que je ne trouvai pas Tite, mon frère; c’est pourquoi, ayant pris congé d’eux, je partis pour la Macédoine.

2 Corinthiens 2:1-13 Bible en français courant (BFC)

Ainsi, j'ai décidé de ne pas retourner chez vous, pour ne pas vous attrister de nouveau. Car si je vous attriste, qui me donnera encore de la joie? Celui que j'aurai attristé le pourrait-il? Voilà pourquoi je vous ai écrit comme je l'ai fait: je ne voulais pas, en arrivant chez vous, être attristé par les personnes mêmes qui devraient me donner de la joie. J'en suis en effet convaincu: lorsque j'éprouve de la joie, vous aussi vous en êtes tous heureux. Oui, je vous ai écrit en pleine angoisse, le cœur lourd et avec beaucoup de larmes, non pour vous attrister, mais pour que vous sachiez à quel point je vous aime. Si quelqu'un a été une cause de tristesse, ce n'est pas pour moi qu'il l'a été, mais pour vous tous, ou du moins, n'exagérons pas, pour une partie d'entre vous. Il suffit pour cet homme d'avoir été blâmé par la majorité d'entre vous; c'est pourquoi, maintenant, vous devez plutôt lui pardonner et l'encourager, pour éviter qu'une trop grande tristesse ne le conduise au désespoir. Par conséquent, je vous le demande, donnez-lui la preuve de votre amour à son égard. Voici en effet pourquoi je vous ai écrit: je désirais vous mettre à l'épreuve pour voir si vous êtes toujours prêts à obéir à mes instructions. Quand vous pardonnez à quelqu'un une faute, je lui pardonne aussi. Et si je pardonne – pour autant que j'aie à pardonner quelque chose – je le fais pour vous, devant le Christ, afin de ne pas laisser Satan prendre l'avantage sur nous; nous connaissons en effet fort bien ses intentions. Quand je suis arrivé à Troas pour y annoncer la Bonne Nouvelle du Christ, j'ai découvert que le Seigneur m'y offrait une occasion favorable de le faire. Cependant, j'étais profondément inquiet parce que je n'avais pas trouvé notre frère Tite. C'est pourquoi j'ai fait mes adieux aux gens de Troas et je suis parti pour la Macédoine.