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Matthieu 18:10-17, 19-35

Matthieu 18:10-17 BFC

«Gardez-vous de mépriser l'un de ces petits; je vous l'affirme, en effet, leurs anges se tiennent continuellement en présence de mon Père dans les cieux. [ Car le Fils de l'homme est venu sauver ceux qui étaient perdus.] «Qu'en pensez-vous? Supposons qu'un homme possède cent moutons et que l'un d'eux s'égare, ne va-t-il pas laisser les quatre-vingt-dix-neuf autres sur la colline pour partir à la recherche de celui qui s'est égaré? Je vous l'affirme, s'il le retrouve, il ressent plus de joie pour ce mouton que pour les quatre-vingt-dix-neuf autres qui ne se sont pas égarés. De même, votre Père qui est dans les cieux ne veut pas qu'un seul de ces petits se perde.» «Si ton frère se rend coupable à ton égard, va le trouver seul à seul et montre-lui sa faute. S'il t'écoute, tu auras gagné ton frère. Mais s'il refuse de t'écouter, prends une ou deux autres personnes avec toi, afin que, comme le dit l'Écriture, “toute affaire soit réglée sur le témoignage de deux ou trois personnes.” Mais s'il refuse de les écouter, dis-le à l'Église; et s'il refuse d'écouter l'Église, considère-le comme un incroyant ou un collecteur d'impôts.

Matthieu 18:19-35 BFC

«Je vous déclare aussi que si deux d'entre vous, sur la terre, s'accordent pour demander quoi que ce soit dans la prière, mon Père qui est dans les cieux le leur donnera. Car là où deux ou trois s'assemblent en mon nom, je suis au milieu d'eux.» Alors Pierre s'approcha de Jésus et lui demanda: «Seigneur, combien de fois devrai-je pardonner à mon frère s'il se rend coupable envers moi? jusqu'à sept fois?» – «Non, répondit Jésus, je ne te dis pas jusqu'à sept fois, mais jusqu'à soixante-dix fois sept fois. C'est pourquoi, voici à quoi ressemble le Royaume des cieux: Un roi décida de régler ses comptes avec ses serviteurs. Il commençait à le faire, quand on lui en amena un qui lui devait une énorme somme d'argent. Cet homme n'avait pas de quoi rendre cet argent; alors son maître donna l'ordre de le vendre comme esclave et de vendre aussi sa femme, ses enfants et tout ce qu'il possédait, afin de rembourser ainsi la dette. Le serviteur se jeta à genoux devant son maître et lui dit: “Prends patience envers moi et je te paierai tout!” Le maître en eut pitié: il annula sa dette et le laissa partir. Le serviteur sortit et rencontra un de ses compagnons de service qui lui devait une très petite somme d'argent. Il le saisit à la gorge et le serrait à l'étouffer en disant: “Paie ce que tu me dois!” Son compagnon se jeta à ses pieds et le supplia en ces termes: “Prends patience envers moi et je te paierai!” Mais l'autre refusa; bien plus, il le fit jeter en prison en attendant qu'il ait payé sa dette. Quand les autres serviteurs virent ce qui était arrivé, ils en furent profondément attristés et allèrent tout raconter à leur maître. Alors le maître fit venir ce serviteur et lui dit: “Méchant serviteur! j'ai annulé toute ta dette parce que tu m'as supplié de le faire. Tu devais toi aussi avoir pitié de ton compagnon, comme j'ai eu pitié de toi.” Le maître était fort en colère et il envoya le serviteur aux travaux forcés en attendant qu'il ait payé toute sa dette.» Et Jésus ajouta: «C'est ainsi que mon Père qui est au ciel vous traitera si chacun de vous ne pardonne pas à son frère de tout son cœur.»

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