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1 Corinthiens 7:18-40

1 Corinthiens 7:18-40 BDS

Quelqu’un était-il circoncis lorsqu’il a été appelé ? Qu’il ne cherche pas à le dissimuler. Ou quelqu’un était-il incirconcis lorsque Dieu l’a appelé ? Qu’il ne se fasse pas circoncire. Que l’on soit circoncis ou non n’a aucune importance. Ce qui importe, c’est l’obéissance aux commandements de Dieu. Que chacun demeure dans la situation qui était la sienne lorsque Dieu l’a appelé. Etais-tu esclave lorsque Dieu t’a appelé ? Ne te fais pas de souci à ce sujet. Mais si tu peux devenir libre, alors profites-en. Car un esclave qui a été appelé à servir le Seigneur est un affranchi du Seigneur. Et de même, l’homme libre que Dieu a appelé est un esclave de Christ. C’est à un grand prix que vous avez été rachetés ! Alors, ne devenez pas esclaves des hommes. Donc, frères et sœurs, que chacun reste devant Dieu dans la situation où il était lorsque Dieu l’a appelé à venir à lui. Pour ce qui est des jeunes filles, je n’ai pas d’ordre du Seigneur, mais je donne mon avis comme celui d’un homme qui, par la grâce du Seigneur, est digne de confiance : à cause des détresses de l’heure présente, j’estime qu’il est bon pour chacun de demeurer comme il est. As-tu une femme ? Ne cherche pas à rompre. N’as-tu aucun engagement ? Ne cherche pas de femme. Mais si tu te maries, tu ne commets pas de péché. Ce n’est pas non plus un péché pour une jeune fille de se marier. Mais les gens mariés connaîtront bien des souffrances et je voudrais vous les épargner. Je vous assure, frères et sœurs : le temps est limité ; que désormais ceux qui sont mariés vivent comme s’ils n’avaient pas de femme, ceux qui pleurent comme s’ils ne pleuraient pas, ceux qui se réjouissent comme s’ils ne se réjouissaient pas, ceux qui achètent comme s’ils ne possédaient rien. Bref, que tous ceux qui jouissent des biens de ce monde vivent comme s’ils n’en jouissaient pas. Car le présent ordre des choses va vers sa fin. C’est pourquoi je voudrais vous savoir libres de toute préoccupation. Celui qui n’est pas marié se préoccupe des intérêts du Seigneur. Son seul souci est de lui plaire. Celui qui est marié s’occupe des affaires de ce monde, pour plaire à sa femme ; et le voilà tiraillé de part et d’autre. De même la veuve et la jeune fille n’ont pas d’autre souci que les intérêts du Seigneur, pas d’autre désir que de se dévouer à lui corps et esprit. La femme mariée, elle, se préoccupe des affaires de ce monde, pour plaire à son mari. Je dis cela dans votre propre intérêt et non pour vous tendre un piège, mais pour que vous meniez une vie bien ordonnée, et que vous soyez attachés au Seigneur sans partage. Mais si quelqu’un craint de mal se comporter envers la jeune fille qui lui est destinée et pense que les choses doivent suivre leur cours normal, qu’il fasse ce qui lui semble bon ; il ne commet pas de faute. Que tous deux se marient ! Mais si cet homme a pris en lui-même une ferme résolution, sans y être contraint, mais dans la pleine possession de sa volonté, et si la décision qu’il a ainsi prise en lui-même est de ne pas s’unir à la jeune fille, il fera bien. En somme, celui qui épouse la jeune fille fait bien, et celui qui ne l’épouse pas fera encore mieux. Un dernier mot : une femme demeure liée à son mari aussi longtemps qu’il vit ; mais si le mari vient à mourir, elle est libre de se remarier avec qui elle veut, à condition, bien entendu, que ce soit avec un chrétien. Toutefois, à mon avis, elle sera plus heureuse si elle reste comme elle est ; et je pense, moi aussi, avoir l’Esprit de Dieu.