tes paroles remettaient debout ceux qui glissaient,
tu relevais ceux qui étaient courbés.
Et maintenant que c’est ton tour, te voici découragé.
Quand le malheur te frappe, tu es effrayé.
« Toi, l’ami de Dieu, est-ce que tu ne dois pas avoir confiance ?
Est-ce que ta conduite parfaite ne te donne pas bon espoir ?