Sòm 104:1-15

Sòm 104:1-15 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Je veux remercier le SEIGNEUR ! SEIGNEUR mon Dieu, tu es très grand, tu es couvert de beauté et d’honneur. La lumière t’enveloppe comme un vêtement, tu étends le ciel comme une tente. Tu construis ta haute maison bien plus haut que le ciel. Tu prends pour char les nuages, tu avances sur les ailes du vent. Tu te sers des vents comme messagers, et des éclairs comme serviteurs. Tu as fixé la terre solidement, maintenant, elle ne tremblera plus jamais. Tu l’as couverte de la mer comme d’un vêtement, l’eau est montée au sommet des montagnes. Tu l’as menacée, elle s’est échappée. En entendant ton tonnerre, l’eau s’est enfuie. Elle est montée sur les montagnes, elle est descendue dans les vallées, à l’endroit que tu lui as fixé. Tu as placé une limite qu’elle ne doit pas dépasser. L’eau ne reviendra plus couvrir la terre. Tu envoies l’eau des sources dans les ravins, elle coule entre les montagnes. Toutes les bêtes des champs la boivent, les ânes sauvages calment leur soif. Les oiseaux ont leurs nids près de l’eau, et ils chantent dans les arbres. Du haut du ciel, tu arroses les montagnes et tu remplis la terre de tes bienfaits. Tu fais pousser l’herbe pour les troupeaux, tu fais grandir les plantes pour les humains. Ils les cultivent pour tirer de la terre leur nourriture : le vin réjouit leur cœur, il fait briller leur visage plus que l’huile, et le pain leur rend courage.

Sòm 104:1-15 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Que tout mon être ╵bénisse l’Eternel ! O Eternel, mon Dieu, que tu es grand ! Tu es revêtu de splendeur, ╵et de magnificence, tu t’enveloppes de lumière ╵comme on se revêt d’un manteau, et tu déploies le ciel ╵comme une tente. Tu fixes au-dessus des eaux du ciel ╵la charpente de tes hautes demeures, tu fais des nuages ton char, tu te déplaces ╵sur les ailes du vent, tu fais des vents tes messagers, les éclairs étincelants sont tes serviteurs. Tu as fondé la terre sur ses bases pour qu’elle reste inébranlable ╵à tout jamais. Les eaux de l’abîme la recouvraient ╵tout comme un vêtement, sur les montagnes les eaux reposaient ; à ta menace, ╵elles se sont enfuies, au bruit de ton tonnerre, ╵elles se sont vite élancées, gravissant des montagnes, ╵dévalant vers des plaines jusqu’à l’endroit ╵que tu leur avais assigné. Tu as fixé une limite ╵que les eaux ne franchiront plus, et elles ne reviendront plus ╵pour submerger la terre. Tu fais jaillir des sources ╵pour alimenter des torrents qui coulent entre les montagnes. Elles abreuvent ╵les animaux des champs, et les onagres ╵y étanchent leur soif. Les oiseaux nichent sur leurs rives, et chantent au sein du feuillage. De tes hautes demeures ╵tu arroses les monts, la terre est rassasiée ╵par l’effet de tes œuvres. Tu fais pousser l’herbe pour le bétail, et tu fais prospérer les plantes ╵cultivées par les hommes, afin qu’ils tirent de la terre ╵le pain pour se nourrir. Le vin réjouit le cœur de l’homme et fait resplendir son visage, ╵le rendant brillant plus que l’huile. Le pain restaure sa vigueur.