Filipyen 4:10-19

Filipyen 4:10-19 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

J’ai eu beaucoup de joie dans le Seigneur. En effet, finalement, vous avez pu montrer de nouveau votre intérêt pour moi. Cet intérêt, vous l’aviez, mais vous n’aviez pas eu l’occasion de le montrer. Je ne dis pas cela parce que j’ai besoin de quelque chose ! Non, j’ai appris à me contenter de ce que j’ai. Je sais vivre dans la pauvreté, je sais vivre dans la richesse. Toujours et partout, j’ai appris à être rassasié et à avoir faim, à vivre avec beaucoup et avec peu. Je suis capable de tout cela grâce au Christ qui me rend fort. Pourtant, vous avez bien fait de prendre part à mes souffrances. Vous le savez, vous, mes amis de Philippes : quand on commençait à annoncer la Bonne Nouvelle, j’ai quitté la Macédoine. Et à ce moment-là, aucune autre Église ne s’est occupée de mon salaire et de mes dépenses, vous avez été les seuls à m’aider. Déjà, quand j’étais à Thessalonique, vous m’avez envoyé plusieurs fois ce qui me manquait. Cela ne veut pas dire que je cherche des cadeaux ! Ce que je cherche, c’est que vous en retiriez un bénéfice. J’ai tout ce qu’il faut, et même plus ! J’ai reçu ce qu’Épafrodite m’a apporté de votre part, et maintenant, j’ai vraiment tout. Vos cadeaux sont comme une offrande agréable, un sacrifice que Dieu accepte et qui lui plaît. Et mon Dieu vous donnera tout ce qui vous manque par le Christ Jésus, tellement sa gloire est grande.

Filipyen 4:10-19 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Je me suis profondément réjoui, dans le Seigneur, en voyant que votre intérêt pour moi a pu finalement porter de nouveaux fruits. Car cette sollicitude à mon égard, vous l’éprouviez toujours, mais vous n’aviez pas eu l’occasion de la manifester. Ce n’est pas le besoin qui me fait parler ainsi, car j’ai appris en toutes circonstances à être content avec ce que j’ai. Je sais vivre dans le dénuement, je sais aussi vivre dans l’abondance. C’est le secret que j’ai appris : m’accommoder à toutes les situations et toutes les circonstances, que je sois rassasié ou que j’aie faim, que je connaisse l’abondance ou que je sois dans le besoin. Je peux tout, grâce à celui qui me fortifie. Pourtant, vous avez bien fait de prendre part à ma détresse. Comme vous le savez, Philippiens, dans les premiers temps de mon activité pour la cause de l’Evangile, lorsque j’ai quitté la Macédoine, aucune autre Eglise n’est entrée avec moi dans un échange réciproque de dons matériels et spirituels. Vous seuls l’avez fait. Pendant mon séjour à Thessalonique, vous m’avez envoyé, par deux fois, des dons pour subvenir à mes besoins. Ce n’est pas que je tienne à recevoir des dons ; ce qui m’intéresse, c’est qu’un plus grand nombre de fruits soit porté à votre actif. J’atteste par cette lettre avoir reçu tous vos dons, et je suis dans l’abondance. Depuis qu’Epaphrodite me les a remis, je suis comblé. Ils ont été pour moi comme le doux parfum d’une offrande agréée par Dieu et qui lui fait plaisir. Aussi, mon Dieu subviendra pleinement à tous vos besoins ; il le fera, selon sa glorieuse richesse qui se manifeste en Jésus-Christ.