Filipyen 2:19-30

Filipyen 2:19-30 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Le Seigneur Jésus me fait espérer que je pourrai bientôt vous envoyer Timothée. Ainsi j’aurai des nouvelles de vous, et elles me donneront du courage. En effet, à part Timothée, personne ne porte les mêmes soucis que moi, personne ne s’occupe vraiment de vous. Tous cherchent leur intérêt, et non celui de Jésus-Christ. Mais vous le savez, Timothée a montré ce qu’il valait. Il a travaillé avec moi au service de la Bonne Nouvelle, comme un fils auprès de son père. Donc, c’est lui que j’espère vous envoyer dès que je verrai clair dans ma situation. Et le Seigneur me rend sûr d’une chose : je vais bientôt venir chez vous, moi aussi. Pourtant, je pense qu’il faut vous renvoyer Épafrodite. C’est mon frère. Il travaille et combat avec moi, et vous l’avez envoyé pour me servir quand j’en avais besoin. Il désire beaucoup vous revoir tous et il est inquiet parce que vous avez appris sa maladie. Oui, il a été malade et bien près de mourir. Mais Dieu a eu pitié de lui, et pas seulement de lui, mais de moi aussi. Alors il m’a évité une tristesse encore plus grande. C’est pourquoi je me dépêche de vous le renvoyer. Ainsi, quand vous le verrez, vous serez de nouveau dans la joie, et moi, je serai moins triste. Recevez-le avec grande joie comme un frère chrétien. Respectez beaucoup les gens comme lui, parce qu’il a vu la mort de près en travaillant pour le Christ. Il a risqué sa vie pour me rendre service quand vous ne pouviez pas le faire vous-mêmes.

Filipyen 2:19-30 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

J’espère, en comptant sur le Seigneur Jésus, vous envoyer bientôt Timothée pour être moi-même encouragé par les nouvelles qu’il me donnera de vous. Il n’y a personne ici, en dehors de lui, pour partager mes sentiments et se soucier sincèrement de ce qui vous concerne. Car tous ne s’intéressent qu’à leurs propres affaires et non à la cause de Jésus-Christ. Mais vous savez que Timothée a fait ses preuves : comme un enfant aux côtés de son père, il s’est consacré avec moi au service de l’Evangile. C’est donc lui que j’espère pouvoir vous envoyer dès que je verrai quelle tournure prennent les événements pour moi. Et j’ai cette confiance dans le Seigneur que je viendrai bientôt moi-même chez vous. Par ailleurs, j’ai estimé nécessaire de vous renvoyer Epaphrodite, mon frère, mon collaborateur et mon compagnon d’armes, votre délégué auquel vous avez donné la charge de subvenir à mes besoins. Il avait, en effet, un grand désir de vous revoir et il était préoccupé parce que vous avez appris qu’il était malade. Il a été malade, c’est vrai, et il a frôlé la mort, mais Dieu a eu pitié de lui, et pas seulement de lui, mais aussi de moi, pour m’éviter d’avoir peine sur peine. Je me suis donc hâté de vous le renvoyer pour que vous vous réjouissiez de le revoir : cela adoucira ma peine. Réservez-lui donc un accueil digne de votre union commune au Seigneur ; recevez-le avec une grande joie. Ayez de l’estime pour de tels hommes, car c’est en travaillant au service de Christ qu’il a failli mourir. Il a exposé sa vie pour s’acquitter, à votre place, du service que vous ne pouviez me rendre vous-mêmes.