Actes 5:1-16
Actes 5:1-16 PDV2017
Un homme appelé Ananias, en accord avec sa femme Saphira, vend une propriété. Toujours avec l’accord de sa femme, il garde une partie de l’argent pour lui. Ananias apporte le reste et le donne aux apôtres. Mais Pierre lui dit : « Ananias, tu as ouvert ton cœur à Satan. Pourquoi donc ? Tu as menti à l’Esprit Saint et tu as gardé une partie de l’argent du champ. Tu pouvais garder le champ, ou bien tu pouvais le vendre et faire ce que tu voulais avec l’argent. Comment est-ce que tu as pu décider dans ton cœur d’agir ainsi ? Ce n’est pas à nous que tu as menti, mais c’est à Dieu ! » En entendant ces paroles, Ananias tombe et il meurt. Tous ceux qui apprennent cela ont très peur. Les jeunes gens viennent envelopper le corps et ils l’emportent pour l’enterrer. À peu près trois heures plus tard, la femme d’Ananias arrive. Elle ne sait pas ce qui s’est passé. Pierre lui demande : « Dis-moi, est-ce que vous avez vendu le champ pour cette somme-là ? » Elle répond : « Oui, pour cette somme-là. » Alors Pierre lui dit : « Comment est-ce que toi et ton mari, vous avez pu décider ensemble de provoquer l’Esprit du Seigneur ? Écoute, ceux qui viennent d’enterrer ton mari sont là, à la porte. Ils vont t’emporter, toi aussi. » Au même moment, la femme tombe aux pieds de l’apôtre et elle meurt. Les jeunes gens entrent et ils voient qu’elle est morte. Ils l’emportent et l’enterrent auprès de son mari. Toute l’Église et tous ceux qui apprennent ce qui s’est passé ont très peur. Les apôtres font beaucoup de choses étonnantes et extraordinaires dans le peuple. Les croyants se réunissent tous ensemble le long des Colonnes de Salomon, mais personne d’autre n’ose venir avec eux. Pourtant les gens disent beaucoup de bien d’eux. Une foule de plus en plus grande d’hommes et de femmes croient au Seigneur et ils s’ajoutent au groupe des croyants. Et même, on sort les malades dans les rues, on les place sur des lits ou des nattes. En effet, les gens espèrent ceci : quand Pierre passera, son ombre touchera au moins l’un ou l’autre parmi eux. Une foule de gens vient aussi des villages qui sont près de Jérusalem. Ils amènent des malades et des gens qui ont des esprits mauvais, et tous sont guéris.