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1 Corinthiens 10:23-33

1 Corinthiens 10:23-33 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Certains disent : « Tout est permis. » Oui, mais tout n’est pas bon. « Tout est permis », c’est vrai, mais tout ne construit pas la communauté. Personne ne doit chercher son intérêt à soi, mais plutôt celui des autres. Tout ce qu’on vend au marché, mangez-en sans poser de question, avec une conscience tranquille. En effet, tout appartient au Seigneur : la terre et tout ce qu’elle contient . Par exemple, quelqu’un qui n’est pas chrétien vous invite, et vous acceptez son invitation. Alors mangez la nourriture qu’on vous offre, avec une conscience tranquille. Mais on vous dira peut-être : « C’est de la viande offerte en sacrifice aux faux dieux. » Alors, n’en mangez pas, à cause de celui qui vous a dit cela, et pour des raisons de conscience. Je parle de sa conscience à lui et non de la vôtre. Mais est-ce que la conscience de quelqu’un d’autre va juger ce que je fais librement ? Pourquoi donc ? Quand je mange en remerciant Dieu, je dis merci pour la nourriture. Alors, on ne peut pas dire du mal de moi, à cause de cette nourriture. Donc, quand vous mangez, quand vous buvez, ou quand vous faites autre chose, agissez en tout pour la gloire de Dieu. Ne faites tomber personne dans le péché par votre façon d’agir : ni les Juifs, ni ceux qui ne sont pas juifs, ni l’Église de Dieu. Faites comme moi ! J’essaie de plaire à tous dans toutes mes actions. Je ne cherche pas mon intérêt, je cherche l’intérêt de tous pour qu’ils soient sauvés.

1 Corinthiens 10:23-33 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Oui, tout m’est permis, mais tout n’est pas bon pour nous. Tout est permis mais tout n’aide pas à grandir dans la foi. Que chacun de vous, au lieu de songer seulement à lui-même, recherche aussi les intérêts des autres. Vous pouvez manger de tout ce qui se vend au marché sans vous poser de questions, par scrupule de conscience, sur l’origine de ces aliments. Car la terre et ses richesses appartiennent au Seigneur . Si un non-croyant vous invite et que vous désiriez accepter son invitation, mangez tranquillement de tout ce que l’on vous servira, sans vous poser de questions par scrupule de conscience. Mais si quelqu’un vous dit : « Cette viande a été offerte en sacrifice à une idole », alors n’en mangez pas à cause de celui qui vous a prévenus et pour des raisons de conscience. – Par conscience, j’entends, évidemment, non la vôtre, mais la sienne. – Pourquoi, en effet, exposerais-je ma liberté à être condamnée du fait qu’un autre a des scrupules de conscience ? Si je mange en remerciant Dieu, pourquoi serais-je critiqué au sujet d’un aliment pour lequel je rends grâce à Dieu ? Ainsi, que vous mangiez, que vous buviez, bref, quoi que ce soit que vous fassiez, faites tout pour la gloire de Dieu. Mais que rien, dans votre comportement, ne soit une occasion de chute, ni pour les Juifs, ni pour les païens, ni pour les membres de l’Eglise de Dieu. Agissez comme moi qui m’efforce, en toutes choses, de m’adapter à tous. Je ne considère pas ce qui me serait avantageux, mais je recherche le bien du plus grand nombre pour leur salut.

1 Corinthiens 10:23-33 Bible en français courant (BFC)

«Tout est permis», dites-vous. Oui, cependant tout n'est pas bon. «Tout est permis», cependant tout n'est pas utile pour la communauté. Que personne ne cherche son propre intérêt, mais plutôt celui des autres. Vous êtes libres de manger tout ce qui se vend au marché de la viande sans avoir à poser des questions par motif de conscience; car, comme il est écrit, «c'est au Seigneur qu'appartient la terre avec tout ce qu'elle contient». Si un non-croyant vous invite à un repas et que vous acceptiez d'y aller, mangez de tout ce qu'on vous servira, sans poser de question par motif de conscience. Mais si quelqu'un vous dit: «Cette viande provient d'un sacrifice offert aux idoles», alors n'en mangez pas, à cause de celui qui a fait cette remarque et par motif de conscience – je parle ici non pas de votre conscience, mais de celle de l'autre. «Mais pourquoi, demandera-t-on, ma liberté devrait-elle être limitée par la conscience de quelqu'un d'autre? Si je remercie Dieu pour ce que je mange, pourquoi me critiquerait-on au sujet de cette nourriture pour laquelle j'ai dit merci?» Ainsi, que vous mangiez, que vous buviez, ou que vous fassiez quoi que ce soit, faites tout pour la gloire de Dieu. Vivez de façon à ne scandaliser ni les Juifs, ni les non-Juifs, ni l'Église de Dieu. Comportez-vous comme moi: je m'efforce de plaire à tous en toutes choses; je ne cherche pas mon propre bien, mais le bien d'une multitude de gens, afin qu'ils soient sauvés.