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Luc 2:1-35

Luc 2:1-35 NFC

En ce temps-là, l'empereur Auguste donna l'ordre de recenser tous les habitants de l'empire romain. Ce recensement, le premier, eut lieu alors que Quirinius était gouverneur de la province de Syrie. Tout le monde allait se faire enregistrer, chacun dans sa ville d'origine. Joseph lui aussi partit de Nazareth, une ville de Galilée, pour se rendre en Judée, à Bethléem, là où était né le roi David ; en effet, il était lui-même un descendant de David. Il alla s'y faire enregistrer avec Marie, sa fiancée, qui était enceinte. Pendant qu'ils étaient à Bethléem, le jour de la naissance arriva. Elle mit au monde un fils, son premier-né. Elle l'enveloppa de langes et le coucha dans une mangeoire, parce qu'il n'y avait pas de place pour eux dans la salle destinée aux voyageurs. Dans cette même région, il y avait des bergers qui passaient la nuit dans les champs pour garder leur troupeau. Un ange du Seigneur leur apparut et la gloire du Seigneur les entoura de lumière. Ils eurent alors très peur. Mais l'ange leur dit : « N'ayez pas peur, car je vous annonce une bonne nouvelle qui réjouira beaucoup tout le peuple : cette nuit, dans la ville de David, est né, pour vous, un sauveur ; c'est le Christ, le Seigneur ! Et voici le signe qui vous le fera reconnaître : vous trouverez un nouveau-né enveloppé de langes et couché dans une mangeoire. » Tout à coup, il y eut avec l'ange une troupe très nombreuse d'anges du ciel, qui louaient Dieu en disant : « Gloire à Dieu dans les cieux très hauts, et paix sur la terre pour ceux qu'il aime ! » Lorsque les anges les eurent quittés pour retourner au ciel, les bergers se dirent les uns aux autres : « Allons donc jusqu'à Bethléem : il faut que nous voyions ce qui est arrivé, ce que le Seigneur nous a fait connaître. » Ils se dépêchèrent d'y aller et ils trouvèrent Marie et Joseph et le nouveau-né couché dans la mangeoire. Quand ils le virent, ils racontèrent ce que l'ange leur avait dit au sujet de ce petit enfant. Toutes les personnes qui entendirent les bergers furent étonnées de ce qu'ils leur disaient. Quant à Marie, elle gardait tout cela dans sa mémoire et elle y réfléchissait profondément. Puis les bergers prirent le chemin du retour. Ils chantaient la gloire de Dieu et le louaient pour tout ce qu'ils avaient entendu et vu, car tout s'était passé comme l'ange le leur avait annoncé. Le huitième jour après la naissance, le moment vint de circoncire l'enfant ; on lui donna le nom de Jésus, comme l'avait indiqué l'ange avant que sa mère devienne enceinte. Puis le moment vint pour Joseph et Marie d'accomplir la cérémonie de purification qu'ordonne la loi de Moïse. Ils amenèrent alors l'enfant au temple de Jérusalem pour le présenter au Seigneur, car il est écrit dans la loi du Seigneur : « Tout garçon premier-né sera mis à part pour le Seigneur. » Ils devaient offrir aussi le sacrifice que demande la même loi, « une paire de tourterelles ou deux jeunes colombes. » Il y avait alors à Jérusalem un homme nommé Siméon. Il était juste, il honorait Dieu et attendait celui qui devait sauver Israël. L'Esprit saint était avec lui et lui avait appris qu'il ne mourrait pas avant d'avoir vu le Christ envoyé par le Seigneur. Inspiré par l'Esprit, Siméon alla dans le temple. Quand les parents de Jésus amenèrent leur petit enfant afin d'accomplir pour lui ce que demandait la Loi, Siméon le reçut dans ses bras et bénit Dieu en disant : « Maintenant, ô maître, tu as réalisé ta promesse : tu peux laisser ton serviteur aller en paix. Car j'ai vu de mes propres yeux ton salut, ce salut que tu as préparé devant tous les peuples : c'est la lumière qui te fera connaître aux populations et qui sera la gloire d'Israël, ton peuple. » Le père et la mère de Jésus étaient tout étonnés de ce que Siméon disait de lui. Siméon les bénit et dit à Marie, la mère de Jésus : « Cet enfant causera la chute ou le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe qui provoquera la contradiction, et il mettra ainsi en pleine lumière les pensées cachées dans le cœur de beaucoup. Et toi, Marie, la douleur te transpercera l'âme comme une épée. »

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